Commentaires - l'inconduisible Triumph TVR Speed 12

Sur ps1 c'était déjà de la merde le châssis

Triumph TVR Speed Twelve ? Il n'y a pas une marque en trop dans le titre ?

Sinon, cette Speed Twelve est superbe, comme les autres TVR de cette décennie (Chiamera, Griffith, Cerbera)

Je me disais aussi que le Triumph n'a rien à faire là...

C'est clair, encore pire que la Viper, déjà difficile à manier

La Dodge Viper a un très bon comportement dynamique pour son niveau de rapport poids / puissance 2 roues motrices . Tous les tests sont unanimes .

Sans maîtrise la puissance n'est rien, slogan qui date sans doute de ces années là...

Plus de 600 ch pour moins de 1 000 kgs ?

C'est à peu près ce que propose une Noble M600 : https://www.noblecars.com/

On parle du jeu Gran Turismo 2 sur PS1.

Vu à un mondial de l'automobile et c'était une dinguerie. En violet si mes souvenirs sont bons

440kmh sur testtrack, en flottant dans les virages à cause des suspensions en bois

Ou une Ultima GTR à son époque.

j'ai été passager une fois d'une Viper ... comment dire, c'était conduisible. Mais sur route qui serpente, comment dire, il était préférable que le conducteur soit très très concentré.

On avait fait St Leu => St Rose en passant par Le Tampon (La Réunion) j'ai plusieurs fois demandé à la conductrice si elle savait vraiment ce qu'elle faisait avec sa voiture, et de regarder la route, parce qu'on sentait bien que les roues arrières avaient très très envies de passer devant les roues avant à quasi chaque accélération.

Le changement d'heure aura perturbé plus que de raison notre Tonton Michel.

C'est ballot, en tournant à gauche arrivé à St Benoit, t'arrivais chez le Squale.

Ce n'est pas ce que j'ai entendu . Un gars TRÈS, TRÈS expérimenté possesseur d'un de ces engins (premières versions) m'avait dit quand il se met à pleuvoir, tu te gare et tu attends que la pluie passe. Les supercars actuelles y compris VE n'existeraient pas sans les béquilles électroniques.

Il y a plus 20 ans un de mes collègues de travail son frère avait une Viper et me disait sous la pluie c'était même pas la peine de la sortir avec ce couple .il y avait d'aide comme aujourd'hui.

Il y avait pas d'aide *

De toute façon, sur les premières versions, on se souviendra du symbolique toit en toile et de l'absence de vitres latérales.

J'sais pas si des bouchons d'évacuation de flotte normande étaient prévus dans le plancher, en cas de rencontre d'orages imprévus....

Une caisse pour Gran Turismo effectivement.

Pareil, c'était la première version, le cabriolet. et la tenue de route était correcte en ligne droite, sur route sèche : un parfais dragster dont le moteur fait glouglou, façon Polonaise au petit déjeuner. Mais c'était un peu plus hard dès que la route tournait, surtout si c'était humide ou glissant.

Par contre, le moteur acceptait l'essence de la Réunion, qui était, à l'époque de l'essence africaine, ce que n'acceptait pas la Porsche que conduisait auparavant la conductrice. Elle avait donc importé une Viper originale et d'occasion pas trop kilométrée.

ESSAI DETAILLE par Le Moniteur Automobile ( dont Paul FRERE , ancien pilote, vainqueur des 24 Heures du Mans )

"COMPORTEMENT DYNAMIQUE en ligne droite : 4/5 en virage : 4/5 confort de suspension : 3/5 motricité : 4/5 adhérence : 4/ 5

- châssis : poutre centrale + structure tubulaire .

- emp : 2 m 44 voie AV : 1 m 51 voie AR : 1 m 54

- poids mesuré : 1 598 kg ( répartition : 49,50 % AV , 50,50 % AR )

- suspension AV : triangles superposés + combinés ressorts / amortisseurs + barre antiroulis

- suspension AR : idem

- roues AV : 275/40 ZR 17 sur jantes alliage léger 3 branches monobloc aluminium . Pneumatiques Michelin dédiés ( XGTZ ) . Pression :

- roues AR : 335/35 ZR 17 idem . Pression :

- transmission : aux roues AR.

- pourvoyeur de motricité : différentiel à glissement limité

COMMENTAIRE : la puissance à faire passer au sol par les seules roues AR est élevée . Le comportement est beaucoup plus facile qu' il n' y paraît , mais attention tout de même aux excès de confiance . La motricité est excellente mais il y a évidemment des limites .

Vu la puissance, la suspension est plutôt tolérante . Chapeau en tout cas à ceux qui ont réussi à rendre exploitable ce formidable moteur sans rendre cette berlinette totalement inconfortable, mais assez "sèche" tout de même aux petites irrégularités .

La répartition des masses est remarquable compte-tenu du gigantisme de l' ensemble moteur-transmission .

La suspension, à triangles superposés, a sans doute été mise au point pour les pneus, dédiés à ce véhicule . Résultat, cette 2 places est assez avenante à exploiter : motricité tout à fait correcte, tenue de cap convenable, potentiel d' adhérence en grande courbe semblant très élevé .

Les appuis importants et prolongés laissent toutefois apparaître une légère imprécision de trajectoire qui ne nous a pas incités à pousser plus avant nos investigations dans ce domaine . Des essais menés sur un circuit plus sinueux nous avaient en effet appris à nous méfier de ses réactions lorsque la limite d' adhérence est dépassée .

En fait, les décrochages se produisent très progressivement , ce qui laisse généralement suffisamment de temps au conducteur pour régler le problème, grâce à la facilité de dosage à l' accélérateur et à la précision de la direction . mais c' est au moment où les pneus Michelin retrouvent du grip que cela se gâte : il y a des coups de raquette qui ont tôt fait de vous envoyer illico dans le fossé d' en face . Cela dit, sur la route, cette situation ne doit jamais se présenter .

Elle est très stable dans le virage rapide, tout juste suffisamment sous-vireuse pour virer proprement . Si des réactions transversales du train AR sont clairement perceptibles, dues semble-t-il' il à de légères variations de pinçage ou de voie du train AR, elles n' ont jamais rien de dangereux .

Les trois éléments que sont les bons pneus adhérents, la bonne répartition des masses et le différentiel à glissement limité permettent d' utiliser une bonne part de la puissance moteur en sortie de virages serrés, même s' il en reste toujours assez pour provoquer, à volonté , le déboîtement du train AR " .

Le gars qui en possédait une que tu connais indirectement, était très satisfait du comportement sur sol sec, c'est le mouillé qui posait problème sur route . Et je peux te dire que conduire ce type de voiture ne lui posait AUCUN problème. Son niveau d'expérience conduite automobile est l'élite !

pareil pour la conductrice, avant d'être prof à La Réunion elle habitait les Alpes, étudiante elle était aussi monitrice de conduite sur glace, elle avait un peu pratiqué le rallye ainsi que le kart, son grand père gérait un petit circuit semi associatif. Son père avait d'ailleurs un joli coup de volant sur circuit, tout en ayant pratiqué le Dakar, et les 24 heures de Paris (c'est là où je l'avais rencontrée, j'y avais accompagné une équipe du nord.

@Salva, je viens de jeter un oeil au Moniteur Automobile, et je n'ai trouvé qu'un essai du modèle SRT10, daté de 2005, pas de la version antérieure, distribuée au milieu des années 90, et c'est cette dernière, la première version, sans toit ni vitres, dans laquelle j'ai eu la possibilité de me promener.

L' essai que j' ai posté correspond à la RT/10 Roadster de 1992 . Paul FRERE a adore , apparemment Après,c' est sûr que sous la pluie, c' est à conduire avec un oeuf sous le pied, c' est pas une Quattro ...