Rien de changé à première vue pour les dessous et le châssis. Le confort reste correct. Pour celui procuré par les suspensions, car pour les sièges, c’est un peu dur, surtout à l’arrière et la position de conduite semblera un peu haute à certains. Curieusement, on note aucune mise à niveau à propos des aides électroniques à la conduite. Le PT peut toujours compter sur un antipatinage, mais aucun contrôle de stabilité ne vient enrichir la panoplie. L’absence d’ESP ne représente pas selon nous un grief grave, même si tous les véhicules familiaux en disposent aujourd’hui. Notre bienveillance tient à un comportement sain et prévisible, plutôt plaisant grâce en particulier à un maintien de caisse réussi. En réalité, l’unique travail invisible a été fait sur les NVH (Noise Vibrations Hardness). Les bruits d’écoulement d’air, de roulement et du moteur (au moins en diesel, seule motorisation essayée) ont à l’évidence nettement diminué, de façon à retrouver le PT Cruiser parmi les plus discrets monospaces compacts du marché. Bonne direction, mais le diamètre de braquage exagéré, à peine compensé par les 2,7 tours du large volant de butée à butée.
3. Un châssis inchangé
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