3. Les intermédiaires, de 20 000 à 30 000 €

• Peugeot 207 CC : les clefs du succès

Digne héritière de la 206 CC, la 207 CC perfectionne la formule gagnante en s’offrant des arceaux de sécurité extractibles, un toit que ne se déverrouille plus manuellement, une finition en sensible progrès et des moteurs à la hauteur de l’enjeu. On en compte trois, dont l’incontournable diesel 1.6 HDi de 110 ch, souple, volontaire et permettant de récupérer 200 € de bonus. Le 1.6 VTi de 120 ch, de son côté, met à l’abri du malus, lui qui, avec sa distribution variable, porte la griffe BMW et boit de ce fait modérément. Evitez, cependant, la boîte auto à quatre rapports qui lui est à l’occasion associée, car elle porte la consommation mixte à 7,2 l/100 km – malus : 750 €. Le plus sympa reste le 1.6 THP (T pour turbo) de 150 ch, qui ne manque ni de saveur ni de peps, au point de transcender la 207 CC pour l’inscrire parmi les routières de très haute volée. Le sacrifice des 750 € de malus vaut le coup.

En bref

L x l x h : 4,037 x 1,750 x 1,393 m

Modèle d’appel : Peugeot 207 CC 1.6 VTi 120 ch (7 CV), 200 km/h, 6,5 l/100 km, 155 g/km. De 19 550 à 26 800 €. Bonus : 0 €.

Autres moteurs : 1.6 THP 150 ch (9 CV), 210 km/h, 7,6 l/100 km, 166 g/km. 24 350 €. Malus : 750 €. – 1.6 HDi 110 ch (6 CV), 193 km/h, 5 l/100 km, 130 g/km. De 22 350 à 26 800 €. Bonus : 200 €.

Les plus : finition soignée, comportement rigoureux, 3 bons moteurs

Les moins : coffre ridicule en cabriolet, poids élevé

• Volkswagen New Beetle Cabriolet : fidèle au poste

Pour rappel, la New Beetle, de moins en moins « new », en l’occurrence, repose sur la plate-forme de la quatrième génération de la Golf, sachant qu’à ce jour, nous en sommes à la sixième… De fait, la berline est apparue en 1999 et sa variante cabriolet, quatre ans plus tard. C’est dire si tout cela date, malgré une esthétique indémodable. Ce qui permet de pardonner beaucoup de choses : les places arrière riquiqui, l’ouverture du coffre pas plus large qu’un timbre poste, la capacité de chargement toute théorique… Bref, la Beetle Cabrio est aussi irrationnelle que la Mini du même nom, sans pour autant, hélas, offrir les mêmes joies à sa conduite. La faute à une suspension « chamallow » qui tient la caisse comme elle peut. Les moteurs sont quant à eux dépassés par l’ampleur de la tache, et dans le lot, le diesel 1.9 TDi et ses injecteurs-pompes sont à proscrire, en raison du vacarme qu’ils produisent. Vite insupportable à ciel ouvert.

En bref

L x l x h : 4,129 x 1,721 x 1,502 m

Modèle d’appel : Volkswagen New Beetle Cabriolet 1.4 75 ch (5 CV) , 160 km/h, 7,1 l/100 km, 171 g/km. 20 720 €. Malus : 750 €.

Autres moteurs : 1.6 102 ch (7 CV), 178 km/h, 7,7 l/100 km, 185 g/km. 23 140 ou 25 360 €. Malus : 750 €. – 1.9 TDI 105 ch (6 CV), 179 km/h, 5,5 l/100 km, 145 g/km. 26 270 ou 28 490 €.

Les plus : esthétique intemporelle, diesel sobre

Les moins : mouvements de caisse, moteurs trop justes, vacarme du diesel

• Mazda MX-5 : concentré de plaisirs

Capote ou toit rétractable ? La MX-5, qui vient de subir un restylage – bouclier avant redessiné, notamment –, offre les deux solutions, et c’est tout à son avantage. Dans le premier cas, la capote se déploie rapidement à la main et se loge dans un coffret placé derrière les sièges. Dans le second, le toit rigide s’escamote en seul tenant, ce qui permet de limiter son poids. Un choix judicieux, car la botte secrète de ce roadster, c’est, justement, son poids contenu – à peine plus d’une tonne. La suite coule de source. Propulsion, châssis vif, direction très directe, commande de boîte rapide : la MX-5 est le remède le plus radical contre la dépression. Les deux moteurs proposés sont dans le ton, le 2.0 de 160 ch ayant gagné plus de caractère à l’occasion du récent lifting. Il tourne à des régimes plus élevés, en gros. Et il peut, désormais, s’associer à une boîte automatique à six rapports. Le 1.8 de 126 ch ne change pas. Même remarque en ce qui concerne les prix.

En bref

Modèle d’appel : Mazda MX-5 1.8 126 ch (8 CV), 194 km/h (Roadster Coupé : 198 km/h), 7 l/100 km, 167 g/km. De 21 300 à 23 450 € (Roadster Coupé : 25 400 €). Malus : 750 €.

Autre moteur : 2.0 160 ch (10 CV), 213 km/h (Roadster Coupé : 218 km/h), 7,6 l/100 km (Roadster Coupé : 7,9 l/100 km), 181 g/km. 27 900 € (Roadster Coupé : 29 850 €).

Les plus : style intemporel, comportement réjouissant, prix

Les moins : coffre riquiqui

• Mini Cabriolet : l’équipe qui gagne

C’est bien connu, une équipe qui gagne ne se change pas. Du moins en ce qui concerne les apparences, quand on parle de la Mini Cabriolet. Laquelle dérive, désormais, de l’actuelle mouture de la berline. Il s’agit donc d’un nouveau modèle, même si cela ne saute pas aux yeux. Le spécialiste note, toutefois, la présence d’arceaux de sécurité rétractables et de ce fait plus discrets qu’auparavant. L’autre nouveauté d’importance se rapporte à la capote elle-même, qui se déploie électriquement de bout en bout de la manœuvre, en 17 secondes. Pour le reste, bien que plus longue de 7 cm, la Mini décapotable conserve l’empattement de sa devancière et ne se montre donc pas plus spacieuse. Les places arrière restent symboliques et le coffre aussi. Enfin, l’auto débute sa carrière avec deux moteurs essence sous son capot, soit les variantes sans et avec turbo – 120 et 175 ch – du même quatre cylindres 1.6. Des mécaniques qui mettent en valeur un châssis à l’origine d’immenses joies de conduite. De ce côté-là, la Mini ne déçoit jamais.

En bref

L x l x h : 3,699, x 1,683 x 1,414 m

Modèle d’appel : Mini Cooper Cabrio 1.6 120 ch (6 CV), 198 km/h, 5,7 l/100 km, 137 g/km. 23 450 €. Bonus : 0 €.

Autre moteur : Cooper S 1.6 Turbo 175 ch (10 CV) (longueur : 3,714 m), 222 km/h, 6,4 l/100 km, 153 g/km. 27 950 €. Malus : 0 €.

Les plus : look inimitable, capote totalement électrique, comportement jouissif

Les moins : sens pratique nul, tarifs élitistes

• Renault Mégane CC : star en fin de carrière

Commercialisée il y a bientôt six ans, la Mégane CC est à ce jour le plus « vieux » des coupés-cabriolets du marché. Et cela se remarque à la conduite, la française souffrant d’une rigidité plus perfectible que celle de ses rivales récentes. De même, l’excessive souplesse de sa suspension nuit à la précision de conduite. Autant, dès lors, apprécier l’auto pour ce qu’elle offre sans compter : son confort. Et puis, la Mégane CC se rachète largement en présentant une palanquée de moteurs, dont le petit diesel 1.5 dCi de 105 ch, réputé pour son insondable souplesse et sa sobriété exemplaire. A noter, une boîte auto peut s’associer aux 1.6 16v de 110 ch et 1.9 dCi de 130 ch, en livrée Privilège uniquement – la plus haute en gamme. Et pour information, la remplaçante dérivée de la nouvelle Mégane est annoncée l’an prochain, en début d’été. Pas avant. Inutile de rêver, Renault n’entend pas, d’ici là, baisser les prix de l’actuelle Mégane CC…

En bref

L x l x h : 4,355 x 1,777 x 1,404 m

Modèle d’appel : Renault Mégane CC 1.6 16v 110 ch (7 CV), 195 km/h, 7 l/100 km, 166 g/km. De 23 750 à 25 250 €. Malus : 750 €.

Autres moteurs : 2.0 16v 135 ch (8 CV), 205 km/h, 8,2 l/100 km, 194 g/km. 27 650 €. Malus : 750 €. - 1.5 dCi 105 ch (6 CV), 190 km/h, 5 l/100 km, 133 g/km. De 26 150 à 28 850 €. Bonus : 0 €. - 1.9 dCi 130 ch (7 CV), 203 km/h, 5,8 l/100 km, 154 g/km. De 28 800 à 30 300 €. Bonus : 0 €. - 2.0 dCi 150 ch (8 CV), 213 km/h, 5,7 l/100 km, 151 g/km. De 29 700 à 31 700 €. Bonus : 0 €.

Les plus : gros coffre en coupé, confort de marche, toit en verre

Les moins : rigidité perfectible, suspension trop souple

• Opel Astra TwinTop : prime au confort

La botte secrète de l’Astra TwinTop, c’est son toit qui se plie en trois parties, de ce fait très compact une fois installé dans le coffre. Avec pour premier résultat une poupe courte et sobrement dessinée. Et en configuration cabriolet, la capacité de chargement atteint 205 dm3, étant précisé que le dispositif peut se soulever électriquement pour retirer les bagages. En action, l’Astra TwinTop aurait mérité une caisse plus rigide, une lacune qu’elle compense par un bon confort de suspension. Quatre moteurs, enfin, figurent au programme, et dans le lot, le teigneux 1.6 essence de 115 ch compose une entrée de gamme intéressante. Le 1.8 de 140 ch, pour sa part, peut s’associer à une boîte automatique à quatre rapports qui alourdit la facture de 1 100 € - 8 l/100 km et 191 g/km, rien de moins… -. A noter, le musclé 1.6 Turbo de 180 ch vient de disparaître du catalogue. Fort heureusement, le diesel 1.9 CDTi de 150 ch n’en manque pas, du muscle.... Les prix sont attractifs.

En bref

L x l x h : 4,476 x 1,831 x 1,414 m

Modèle d’appel : Astra TwinTop 1.6 16v 115 ch (7 CV), 192 km/h, 6,8 l/100 km, 163 g/km. 24 050 €. Malus : 200 €

Autres moteurs : 1.8 16v 140 ch (8 CV), 209 km/h, 7,4 l/100 km, 177 g/km. 26 750 €. Malus : 750 €. – 1.9 CDTi 150 ch (9 CV), 213 km/h, 6 l/100 km, 159 g/km. 28 350 30 250 €. Bonus : 0 €.

Les plus : silhouette harmonieuse, confort de marche, prix

Les moins : rigidité sujette à caution, places arrière étriquées

• Ford Focus CC : pratique et abordable

La Focus CC est le plus long des coupés-cabriolets dérivés de berlines compactes. Elle offre de ce fait deux places arrière fréquentables et un coffre gigantesque en configuration coupé - 534 dm3, pas moins. Et une fois replié dans ledit coffre, le toit en deux parties laisse un espace libre de 248 dm3. Côté technique, la Focus CC profite de la suspension arrière de la sportive ST, qui lui garantit un comportement aussi sûr que plaisant. La rigidité de la caisse et la précision de la direction font le reste. Parmi les trois moteurs proposés, le diesel 2.0 TDCi de 136 ch est le plus conseillé. Il a tout pour lui : l’énergie dès les plus bas régimes, la souplesse et le maintien dans la zone neutre de la taxe écolo. Le quatre-cylindres 2.0 essence de 145 ch peut, quant à lui, faire corps avec une boîte auto à quatre vitesses, moyennant 1 050 € supplémentaires. Puisqu’on parle argent, les tarifs sont siglés Ford, c’est-à-dire très favorables.

En bref

L x l x h : 4,509 x 1,834 x 1,448 m

Modèle d’appel : Focus CC 1.6 100 ch (6 CV), 182 km/h, 7,1 l/100 km, 169 g/km. 24 150 €. Malus : 750 €

Autres moteurs : 2.0 145 ch (9 CV), 210 km/h, 7,5 l/100 km, 179 g/km. 25 250 ou 26 850 €. Malus : 750 €. – 2.0 TDCi 136 ch (8 CV), 205 km/h, 5,9 l/100 km, 156 g/km. 28 000 ou 29 600 €. Bonus : 0 €.

Les plus : coffre exploitable, habitacle spacieux, comportement sain, prix attractifs

Les moins : moteur 2.0 essence terne

• Volkswagen Eos : au-dessus de la mêlée

Le coupé-cabriolet Eos, dérivé de la précédente génération de la Golf, la joue résolument haut de gamme. Pour preuve, sa gamme intégre un V6 3.2 de 250 ch, lequel s’ajoute à trois autres mécaniques essence, dont un brillant 1.4 TSi de 122 ch aussi vigoureux que sobre. Pour preuve, il échappe au malus écolo, comme sa variante de 160 ch, du reste. Idem en ce qui concerne le bien connu diesel 2.0 TDi de 140 ch quand il s’associe à à l’excellente et recommandée boîte robotisée DSG – 159 g/km -, cette dernière réclamant, par rapport à la « boîte méca », 1 700 € supplémentaires. Pour le reste, l’Eos réalise le sans-faute, en offrant un toit qui se plie en cinq parties, avec pour avantage une capacité de chargement de 205 dm3 en cabriolet. De même, l’extrême rigidité de la caisse autorise un comportement efficace. Les prix sont en conséquence. La remplaçante tirée de la nouvelle Golf n’est, à ce jour, toujours pas annoncée.

En bref

L x l x h : 4,407 x 1,791 x 1,443 m

Modèle d’appel : Volkswagen Eos 1.4 TSi 122 ch (7 CV), 196 km/h, 6,5 l/100 km, 154 g/km. 26 330 ou 28 540 €. Bonus : 0 €.

Autres moteurs : 1.4 TSi 160 ch (9 CV), 215 km/h, 6,7 l/100 km, 159 g/km. 30 840 ou 33 140 €. Bonus : 0 €. - 2.0TSi 200 ch (12 CV), 232 km/h, 8 l/100 km, 188 g/km. 34 240 ou 36 540 €. Malus : 750 €. - V6 3.2 250 ch (16 CV), 247 km/h, 9,2 l/100 km, 219 g/km. 40 230 €. Malus : 1 600 €. - 2.0 TDi 140 ch (8 CV), 206 km/h, 5,6 l/100 km, 148 g/km. De 28 490 à 34 540 €. Bonus : 0 €.

Les plus : cinématique du toit, rigidité de la caisse

Les moins : pas de petit diesel dans la gamme, prix

• Peugeot 308 CC : la nouvelle référence

Avec la 308 CC, Peugeot monte la barre de plusieurs crans. Sur le principe et par rapport à la 307 CC, le toit se plie toujours en deux parties, ce qui n’a guère de conséquence sur la capacité de chargement. Soit 226 et 403 dm3 selon la forme empruntée, le nouveau venu se tenant, à cet égard, dans les normes de son espèce. Pour le reste, il les repousse, les normes… Dans tous les domaines, de la finition exemplaire aux équipements inconnus à ce niveau de gamme, tel le système Airwave qui permet d’envoyer de l’air chaud à hauteur de la nuque via des « soupirails » placés dans les sièges. De la direction très consistante au châssis à la fois précis et confortable, sans oublier les deux excellents moteurs que sont le 1.6 THP de 150 ch et le 2.0 HDi de 136 ch. Bien sûr, d’aucuns reprocheront l’inclinaison trop prononcée du pare-brise, mais la médaille a son bon côté. Avec le coupe-vent et les vitres relevées, la « bulle » ainsi formée permet de rouler sur l’autoroute dans un confort sonore qu’aucune rivale de la 308 CC n’est en mesure d’égaler. Au final, tant d’excellence peut justifier des prix élevés. A la rigueur.

En bref

L x l x h : 4,400 x 1,817 x 1,426 m

Modèle d’appel : 308 CC 1.6 THP 150 ch (9 CV), 215 km/h, 7,5 l/100 km, 177 g/km. 27 550 ou 30 900 €. Malus : 750 €

Autre moteur : 2.0 HDi 140 ch (8 CV), 208 km/h, 5,9 l/100 km, 155 g/km. 30 300 ou 33 650 €. Bonus : 0 €.

Les plus : confort sonore, finition soignée, comportement céleste

Les moins : pare-brise très incliné, prix élevés

• Audi A3 Cabriolet : partition classique

Chez Audi, on aime rouler au grand air : l’A3 Cabriolet, apparue il y a tout juste un an, est le premier, dans la gamme, d’une série de trois décapotables – A3, donc, A5 et TT Roadster, pour les nommer. Décapotables est le mot juste, car Audi ne jure que par la capote en toile, à trois épaisseurs, en l’occurrence, sur l’A3 découvrable. Et tout électrique, bien sûr, l’opération ne demandant que 9 secondes dans son cas. La seule originalité de cette automobile, qui, à part ça, ne sort pas de l’ordinaire de l’espèce. L’esthétique évoque trop la berline, les places arrière sont là pour faire joli et la capacité de chargement est correcte, sans plus – 260 dm3. Bref, la routine à ce niveau de gamme, sauf du côté des prix et de la quantité de sel versée dessus, en plusieurs couches épaisses… La qualité de la finition, remarquable, peut les justifier, tout comme l’extrême rigueur du comportement routier. En revanche, débourser 36 350 € pour l’assourdissant diesel 1.9 TDI de 105 ch à injecteurs-pompes, c’est peut-être beaucoup demander…

En bref

L x l x h : 4,238 x 1,765 x 1,424 m

Modèle d’appel : Audi A3 Cabriolet 1.6 102 ch (6 CV), 183 km/h, 7 l/100 km, 167 g/km. De 28 080 à 34 380 €. Malus : 750 €.

Autres moteurs : 1.8 TFSI 160 ch (9 CV), 218 km/h, 6,8 l/100 km, 159 g/km. De 32 100 à 38 400 €. Bonus : 0 €. – 2.0 TFSI 200 ch (12 CV), 231 km/h, 7,2 l/100 km, 169 g/km. De 36 310 à 40 140 €. Malus : 750 € - 1.9 TDI 105 ch (6 CV), 185 km/h, 5,1 l/100 km, 134 g/km. De 30 050 à 36 350 €. Bonus : 0 €. – 2.0 TDI 140 ch (8 CV), 205 km/h, 5,3 l/100 km, 139 g/km. De 31 810 à 38 110 €. Bonus : 0 €.

Les plus : décapotage rapide, finition, comportement

Les moins : manque d’originalité, diesel 1.9 TDI 105 à proscrire