La marque aux anneaux débute le programme de déclinaison de sa citadine. Cette carrosserie 5 portes est calquée sur le concept Sportback de sa grande sœur l’A3. Autrement dit proposer 2 portes supplémentaires et un espace habitable plus « généreux ». La marque allemande poursuivra avec l’ajout d’une transmission Quattro au second semestre. Verra-t-on apparaître une A1 cabriolet ? Rien n’est moins sûr.
Esthétiquement, Audi n’a pas dénaturé son A1. Le modèle reste fidèle à la 3 portes au même titre que la longueur (3,95 m). L’ajout de ces deux portes facilite l’accès aux places arrière, cela va sans dire. Les mères de famille n’auront plus à se contorsionner pour y installer un siège bébé. En revanche, l’augmentation des côtes (+ 6mm en hauteur et en largeur) ne se ressent aucunement aux places arrière. L’espace aux jambes, la garde au toit et l’espace aux épaules sont réduits à la portion congrue. Les grands gabarits peineront à voyager à bord de cette 4 places. Toutefois, Audi propose désormais une banquette trois places (option gratuite). Jusque là mauvaise élève, en habitabilité face au Citroën DS3 et Mini, l’A1 renforce sa polyvalence avec cette déclinaison Sportback, moyennant 700 € supplémentaire.
A équipement premium, tarifs exorbitants
L’aménagement intérieur et le niveau d’équipements sont inchangés par rapport à l’A1 traditionnelle. On a affaire à un véhicule soigné et rigoureux. Compte tenu des prix pratiqués (à partir de 17 400 €, on n’en attendait pas moins. La grisaille familière aux intérieurs allemands est, ici, atténuée par des assemblages de coloris vifs et modernes.
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