Les motos françaises.
Ils étaient pas moins de quatre vingt dix...quatre vingt dix clubs présents pour cette 19ème édition des Coupes Moto Légende. Et s'il y avait un endroit qu'il ne fallait pas rater, c'était bien celui-là.
D'année en année, chacun d'entre eux fait de nombreux efforts, que ce soit pour la présentation du matériel, ou pour l'agrément des stands. Et c'est un véritable régal pour les yeux que de déambuler au milieu des différentes expositions. D'ailleurs, l'organisation ne s'y est pas trompée puisque des améliorations ont été apportées. Et si des points d'eau supplémentaires pouvaient être rajoutés ainsi que des branchements électriques, cela permettrait à tous ces bénévoles de passer trois jours dans des conditions plus confortables (parce que les groupes électrogènes, au bout d'un moment, ...).
Bref! Ceci étant dit, il est temps d'aller voir ces machines d'un peu plus près. Soyons un peu chauvin et débutons cette visite par les moto françaises avec la marque René Gillet présentée par un club allemand.
Le Moto Club du Lion qui, comme son nom l'indique, s'intéresse à la marque Peugeot (et ses dérivés), présentait cette P107 restaurée.
Un grand classique avec cette "Motorette" exposée sur le stand du Terrot Club de France.
Restons dans la marque dijonnaise avec cette 350cc HSS de 1929 aperçue chez "l'arbracam".
Chez Motobécane, cette année, on avait décidé de jouer la carte des prototypes; tout d'abord, il y avait cette machine de trial datée de 1962 avec sa fourche avant disons...fluette.
En sa compagnie, on pouvait voir cette 350cc 2 temps 3 cylindres de 1973, qui tentera, à son époque, de concurrencer les machines japonaises...
Incontournable, l'exceptionnelle exposition que nous propose chaque année le "Rétro Motos Cycles de l'Est". Deux très belles monocylindre Peugeot du début du siècle dernier accompagnent la désormais célèbre reconstruction de la 500cc M1 des records de 1914 que l'on doit au travail acharné de Jean Boulicot.
Retour vers la fameuse marque dijonnaise, à savoir Terrot, avec cette splendide machine de course dont le confort ne devait pas être la principale des qualités...
Clôturons cette page par une non moins exceptionnelle 350cc Koehler Escoffier de course de 1930 ayant appartenu au célèbre pilote Georges Monneret. Il s'agit là d'un modèle équipé d'un moteur Rudge racing d'usine à quatre soupapes radiales capable d'atteindre les 160 km/h.
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