Faute de posséder une puissante industrie nationale, les Pays-Bas ont toujours été considérée comme une "petite" nation en matière de sport automobile. Faute de réussite en Formule 1, le plat pays a tout de même offert deux beaux vainqueurs
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La Scuderia Ferrari qui s’est bâtie le plus glorieux des palmarès a toujours exercé un pouvoir attractif sur les pilotes. Une fascination étrange et magique, l’aboutissement d’une carrière sans garantie formelle de succès.
François Cevert fait jeu égal avec son maître Jackie Stewart. Il le précède parfois, mais Ken Tyrrell n'a nul besoin de passer des consignes. François accepte son rôle avec le sourire, car il sait que son heure viendra. Il est devenu un
Avant que la Championnat du monde de Formule 1 ne prenne sa dimension tentaculaire, les 24 Heures du Mans constituaient un rendez-vous souvent incontournable pour les grands pilotes. Espoirs en quiète de passeport pour la F1 ou champions confirmés
A force d'accompagner "Papa" sur les circuits, de tenir un chronomètre, de passer un panneau, les enfants de champion sont nombreux à avoir attrapé le virus de la course. Si leur entrée en scène est souvent plus facile, le talent, lui, n'est
Ce petit bonhomme au visage juvénile n’avait l’air de rien avec ses vieux "jeans" délavés et ses pulls trop grands. Pourtant, sur tous les circuits du monde, il enflammait les foules par sa rage de vaincre, les faisait frissonner par son
Son palmarès est sans égal. Il est le seul pilote de l'histoire du sport automobile à avoir remporté la triple couronne : champion du monde F1, vainqueur des 500 miles d'Indianapolis et des 24 heures du Mans. Il y eut l'homme aussi, modèle de
Watkins Glen, le 7 octobre 1973, Jackie Stewart coiffé de son inséparable casquette de loup de mer vient saluer une dernière fois tous ses anciens adversaires sur la grille de départ du GP des Etats-Unis.
Son ascension fut chaotique. Laborieuse d’abord et soudain fulgurante. Un jour, sa rencontre avec un lord excentrique le propulsa dans le grand cirque de la F1. Son passage y fut aussi bref que flamboyant. Et puis, un autre jour, quand il
En effet, dans l’immédiat après guerre, le sport automobile reste un "sport d’aristocrates" où le pilote possède plus aux yeux du public l’image d’un gentilhomme aisé que celle de "Monsieur tout le monde".