
Côté impact, le coup est fumant. Et pour cause : obtenir le soutien d’un revendeur de cannabis pour financer sa saison en sport automobile, ça ne manque pas de panache. Surtout lorsqu’il s’agit de drift. Mais que l’on se rassure, les pneus seront toujours faits de caoutchouc, il ne servira donc à rien de les humer. Par ailleurs, la démarche est tout à fait légale. Donc pas de quoi se mettre en pétard.