
Prise comme ça, c’est une décision historique et radicale qui place le Japon parmi les pays courageux qui ont décidé de bouleverser leur parc automobile. Mais si l’on y regarde de plus près, c’est plutôt une démarche mesurée mais aussi rationnelle car elle compte un volet non négligeable sur la disponibilité des matières premières. Mais le pli est pris : à partir de 2050 les usines du pays ne produiront plus que des automobiles électriques ou des hybrides.