Opel innove avec un pavillon aviation qui comprend 4 surfaces vitrées occultables électriquement par des jalousies électriques, séparées au milieu par cinq rangements de taille différente (un peu dans l’esprit du Modutop du Berlingo) d’une capacité totale de presque 20 litres. La luminosité procurée et ces petits rangements du pavillon panoramique qui complète la bonne vingtaine d’autres que recèle l’habitacle est proposé de série sur la version haute Cosmo. Le client peut y renoncer par le biais d’une option négative (- 1 400 €), tandis que les finitions inférieures n’y ont pas droit.
Pour le reste, rien de neuf par rapport à l’Astra dont l’équipement a déjà été largement effeuillé dans les essais consacrés à la berline et au break.
Le Zafira II reprend lui aussi quatre niveaux de finition, même si les appellations en bas de l’échelle change. En haut de gamme, la différence entre Elégance et Cosmo reste trop ténue, et pour un équipement complet (comprenant la clé mains libres et le contrôle de pression des pneumatiques pour se croire dans un Grand Scénic Luxe), il faudra recourir aux options, généralement pas trop chères, et à la liste pas excessivement longue. Les éléments de sécurité passive sont tous de série (y compris la ceinture centrale à 3 points trop longtemps absente de l’ancien Zafira) et concourent à l’obtention par le nouveau venu du maximum d’étoiles aux tests de collision Euro-NCAP.
Les tarifs augmentent légèrement d’une génération à l’autre, mais la richesse d’équipement progressent aussi. Le rapport prix/équipement reste stable par rapport au premier Zafira, autrement dit assez intéressant, mais compte-tenu de la notoriété de ce best-seller, au final il est moins favorable que pour les autres modèles de la marque.
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