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2. Yamaha Ray-ZR 125 Cygnus est fait avant tout pour le périurbain

 

Que vaut le Yamaha Ray-ZR 125 Cygnus, le premier prix pour un scooter urbain japonais ?

Il ne faut pas longtemps pour prendre la mesure du RayZR. Déjà, l’empattement de 1 280 mm très court permet de tourner sur un coin de route tout en restant stable. Si le guidon passe au-dessus du genou, il n’est pas à exclure de devoir légèrement désaxer la jambe pour libérer le passage : c’est du compact ! La légèreté du scooter fait en tout cas merveille sans nuire pour autant à la stabilité. Un point des plus appréciable. Une rigueur que l’on retrouve en toute occasion sur la route, y compris dans les courbes. Surprenant, mais pas inhabituel de la part de Yamaha. Une route limitée à 90 km/h maximum, faut-il l'admettre, eu égard aux performances moteur limitées par la puissance plus que raisonnable. Impossible en effet de dépasser les 96 km/h, le rupteur y veille.

Ce petit moteur vaut-il que l’on se penche sur lui ? Plus vibrant que le bloc des Nmax et Xmax, il est assez attachant du fait de sa personnalité douce et volontaire. Ses démarrages sont appréciables, sans que l’on ne sache réellement jauger la pertinence de l’appoint électrique au démarrage. Ne vous attendez pas à un effet boost patent, donc, mais plutôt à un soulagement des accélérations, un maintien des performances, y compris en duo et à une certaine énergie à défaut d’une énergie certaine. L’alterno démarreur permet en tout cas de s’élancer dans la foulée immédiate de la relance du moteur. Son entrée en action demande un peu plus de temps que le Nmax, par exemple, tout en garantissant le même effet. Le bénéfice est réel et le silence comme l’absence de vibrations au moindre stop particulièrement appréciables.

Que vaut le Yamaha Ray-ZR 125 Cygnus, le premier prix pour un scooter urbain japonais ?

Sans prétention, le RayZR promène efficacement sa silhouette moderne dans les rues des centres-villes, sans avoir à craindre de s’aventurer au-dehors. Là encore, l’amortissement suffisamment souple, les pneumatiques souples de carcasse et une selle avenante permettent de profiter d’un bon niveau de confort. Certes, on ne se voit pas faire un Paris Marseille en 10 heures et 4 pleins (consommation avoisinant les 2l/100 km), mais pour le quotidien et se déplacer de manière agréable et avec style, le « Cygnus » de nouvelle génération est tout indiqué. D’autant plus que le freinage, point sur lequel on peut légitimement s’interroger, offre une réponse rapide et claire. Couplé, il exploite pleinement la « puissance » du piston de l’étrier avant et celle plus importante du tambour arrière. Le tout sans provoquer de dérapage. On freine « à plat », avec pertinence et précision, tandis que l’ABS pourra ne faire défaut que sur le mouillé, surtout si le grip des gommes y est insuffisant.

Que vaut le Yamaha Ray-ZR 125 Cygnus, le premier prix pour un scooter urbain japonais ?

Certes, il existe un léger décalage de ressenti à la pression dans les leviers, mais l’équilibre est aisé à trouver et la répartition bien dosée. Le freinage assisté toutes les manœuvres et offre la possibilité de bien stabiliser le scooter au moment de tourner fort ou de prendre de l’angle. De quoi le poser efficacement au sol et profiter d’un autre équilibre, physique cette fois : celui de la partie cycle.

Que vaut le Yamaha Ray-ZR 125 Cygnus, le premier prix pour un scooter urbain japonais ?

En effet, le RayZR s’avère assez joueur du fait de son agilité renforcée et prompt à pencher, notamment sur les petits ronds-points. Le tout sans jamais faire mine de décrocher de l’avant ou de basculer trop rapidement d’un angle sur l’autre malgré la légèreté affichée. Une gageure au regard de son poids et de son court empattement. À tel point que l’on se demande où sont ses limites. Pas physiques en tout cas : la béquille centrale ne frotte pas trop rapidement ! L’équipement, alors ? Assurément, oui.

Que vaut le Yamaha Ray-ZR 125 Cygnus, le premier prix pour un scooter urbain japonais ?

Si l’instrumentation n’appelle aucune critique particulière, mais l’équipement global aurait pu inclure une prise USB, devenue standard pour alimenter ou recharger son téléphone. Surtout lorsque celui-ci peut être connecté à l’instrumentation. Ou encore un petit vide-poche, pas forcément profond, mais prompt à accueillir un petit chiffon ou de menus effets, voire un téléphone.

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