4. Volkswagen Coccinelle et autres voitures refroidies par air

Pour certaines voitures, le rétrofit semble absolument parfait sur plusieurs niveaux et la Volkswagen appelée officiellement Type 1, 1 100, 1 200, 1 300, 1 500 ou 1 600 et officieusement Coccinelle en fait partie. D'abord par la philosophie. Pas celle d'origine liée à sa création (non, vraiment pas) mais plutôt celle qu'elle a acquise à partir des années 60 et 70 qui en a fait le mode de transport favori de tout bon hippie qui se respecte.

Peu de voitures peuvent se vanter d'avoir un capital sympathie aussi grand que celui de la Coccinelle.

Mais c'est aussi une opération facilitée par sa conception, avec une mécanique en porte-à-faux arrière refroidie par air très facilement accessible par en dessous et laissant une place extraordinaire une fois démontée, ainsi que des batteries trouvant naturellement leur place dans le coffre à l'avant. Sans surprise, c'est donc aujourd'hui l'une des candidates les plus populaires et il existe même aux États-Unis des kits de conversion complets livrés « clés en main » qui lui sont destinée. Volkswagen lui-même a annoncé lui-même vouloir en commercialiser l'année dernière !

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Le moteur thermique prend une place colossale à l'arrière et le réservoir d'essence se trouve sous le capot avant : parfait pour un rétrofit.

Cependant, elle ne pouvait avoir sa place dans la catégorie précédente car une question se pose : une fois convertie à l'électrique, est-ce toujours une Coccinelle sans le bruit si caractéristique du quatre cylindres à plat ?

Les alternatives

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La descendance de la Coccinelle a pris de nombreuses formes.

La bonne vieille Cox n'est pas la seule à présenter ces spécificités mécaniques, il y a aussi toutes les autres productions Volkswagen de la même époque qui en étaient plus ou moins des dérivées, comme la Karmann Ghia ou le T1. On pourrait aussi citer les Porsche 356 et 912 mais peut-être pas la 911 jusqu'à la 993 si l'on ne veut pas s'attirer les foudres des amoureux éperdus du modèle.