2. Sur route : la référence
L’offre de motorisations s’enrichit d’un 3 cylindres, 1.2 PureTech de 130 ch. Il est accouplé à la boîte de vitesses automatique EAT 6. Un mariage qui fonctionne plutôt bien à l’usage. Le Picasso se montre docile et très silencieux à bas régime et donne du répondant lorsqu'on le sollicite. Du coup, il est à l’aise dans pratiquement toutes les situations (villes et grands axes). La boîte automatique commune à de nombreux modèles du groupe PSA (Peugeot 308, DS3, etc.) est fluide et plutôt réactive, mais ici, il faudra la commander au volant, ce qui pourrait déplaire à certains. Tout comme la facture à la pompe. Le C4 Picasso s’avère gourmand avec un moyenne de 8,5 l/100 km relevée lors de notre essai. La gamme actuelle des motorisations diesels (BlueHDi 100, 120 et 150 ch) et essence (PureTech 110 et THP 165 ch) est reconduite.
Côté châssis, le monospace fait dans le moelleux tout en conservant un excellent maintien. Le confort est proche de la perfection et place le Picasso comme l’un des meilleurs voyageurs de sa catégorie. Les aides à la conduite sont désormais actives. Par exemple l’aide au maintien dans la voie replace le Picasso dans la circulation, tout comme le régulateur adaptatif qui s’enrichit d’une fonction Stop (il est désormais capable de gérer l’arrêt total du véhicule).
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