Portrait d'un utilisateur d'un Piaggio XEvo au quotidien
Pour bon nombres d'utilisateurs de deux roues motorisés, rouler en scooter est souvent synonyme d'évasion, de liberté, sans pour autant en oublier ses dangers. Afin de mieux comprendre ce phénomène sans précédent, je suis allé à la rencontre d'Eric. Agé de 31 ans, il n'a eu d'autre choix que de quitter Toulouse pour rallier la capitale afin de devenir Réalisateur. Possesseur d'un Piaggio XEvo 125 Cm3, affichant 3600 km, il nous confie ses attentes et les raisons qui l'ont poussé à franchir le pas. Réactions à chaud...
Caradisiac Moto : Est-ce votre première expérience en deux roues ?
Eric : non, pas tout à fait, mon premier scooter a été un Malaguti Madison 125 cm3. Je voulais un scooter compact et doté de nombreux rangements. Le Madison m'a tout de suite enchanté par sa silhouette agressive et affûtée. Ses qualités routières m'ont permis de mieux appréhender la conduite en ville et de me forger ma première expérience. Car aborder la place de l'Etoile à l'heure de pointe demande une attention de tous les instants. Malheureusement, les voleurs l'ont trouvé aussi à leur goût, malgré la présence d'un antivol U.
Caradisiac Moto : Quelles sont les raisons qui vous ont poussé à acheter un scooter ?
Eric : Je n'ai aucune hésitation. Plusieurs facteurs m'ont aidé à franchir le pas : D'abord, je réside en banlieue ouest de Paris, relativement mal desservi par les transports en commun. Ensuite, mon métier de Réalisateur me demande d'être souvent aux quatre coins de la capitale plusieurs fois par jour. Lassé, fatigué et perdant un temps monumental dans les embouteillages, j'ai rapidement pris la décision d'investir dans un scooter.
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