Cette fois, il semblerait que ce soit la bonne occasion pour l'emblème frappé des trois diapasons. Sur une piste à nouveau sèche, les Yamaha ont confirmé que le circuit de Misano était bel et bien leur jardin. Jorge Lorenzo en a profité pour se rappeler au bon souvenir de ses adversaires alors que Valentino Rossi a réveillé ceux de sa gloire d'antan.
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Chez Yamaha, qui peut le plus peut le moins. Ce n'est pas parce que l'on attend avec intérêt une nouvelle R1 ou encore la relève de la TDM que l'on délaisse les petits 50 de la famille. La preuve avec l'incontournable BW's et le nerveux Aerox qui vont avoir droit en 2015 à de nouvelles couleurs.
Best-seller, la MT-07 a droit désormais à toute la rigueur Ohlins : la Yamaha s'habille désormais en or. Pour faire gagner en rigueur le roadster Yamaha Ohlins, spécialiste des amortisseurs, offre à la MT-07 des suspensions spécifiques pour coller à la route.
Keinosuke “Keino” Sasaki dévoile sa déclinaison "Rhapsody in Blue" de la Yamaha XJR1300. Le point de départ de cette réalisation a été le design de l'élément arrière. « L'inspiration de Keino pour la XJR vient de son goût pour les puissants moteurs refroidis par air à quatre cylindres des années 90 ».
La tendance actuelle est Vintage où elle ne l'est pas. En point d'orgue de cette sensibilité surgit un retour en force des canons scrambler qui occuperont aussi les gammes des constructeurs. Chez Yamaha, chaque version semble avoir droit à son adaptation au genre.
Le style Scrambler va faire parler de lui durant cette rentrée qui sera marquée par les incontournables salons de Cologne et de Milan. Chez Yamaha, la MT-09 sera aussi d'actualité car il se dit avec insistance qu'elle enfantera la prochaine TDM. Qui risque donc d'être une utilitaire encanaillée.
Alors que Kawasaki met le turbo - au sens figuré mais peut être aussi au sens propre - sur un jouissif projet H2, Yamaha travaille dans la zénitude sur un scooter électrique à trois roues. Une Elec-Tricity ? Pas vraiment parce que c'est à l'arrière qu'il y aura deux roues. . .
Valentino Rossi n'avait encore jamais eu l'occasion de goûter le champagne à Silverstone, théâtre ce week-end du Grand Prix de Grande Bretagne. Voilà qui est fait. Une aubaine puisque le « Doctor » y célébrait son 246ème départ, soit plus qu'un Alex Barros à la carrière certes honorable mais moins prolifique.
Petit à petit Jorge Lorenzo se reconstruit. A Silverstone, il a accompli un bon Grand Prix de Grande Bretagne qui était pourtant bien mal engagé avec une Yamaha hors du coup. Mais le travail a payé et après une bonne qualification qui lui a assuré la première ligne, il a mené un rythme d'enfer en tête de la course que seul ce diable de Marquez a pu suivre.
Le Grand Prix de Grande Bretagne, Valentino Rossi, il connaît. Il l'a remporté déjà sept fois dans sa prolifique carrière. En 125, en 250 en 500 ou en Moto GP, la perfide Albion s'est souvent rendue au diagnostique du « Doctor ». Ouis mais tout ça, c'était avant Silverstone.
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