Le Mitsubishi Grandis est-il un meilleur plan que son clone Renault Symbioz ?
Dérivé du Renault Symbioz, le nouveau Grandis propose des prestations similaires. Reste à savoir s’il représente une affaire intéressante. Eléments de réponse sur le Salon de Lyon.

Par rapport au Renault Symbioz, qui pour rappel est une version rallongée du Captur, le Grandis 2 se distingue avec un masque avant typiquement « Mitsu » (hors optiques), des jantes spécifiques, le logo « HEV » sur les portes et un hayon plissé entre des feux spécifiques (avec une signature lumineuse à LED).
À bord, aucun changement hormis l’emblème Mitsubishi sur le volant. On retrouve la grande tablette tactile verticale avec le système Android Automotive très réussi, un bel espace aux jambes quand la banquette est reculée au maximum mais un manque de largeur à trois, ainsi qu’un volume de chargement oscillant entre 434 et 1 455 litres (banquette rabattue).

Plus cher que le Renault…
Techniquement, le Grandis propose deux motorisations : un bloc essence 1.3 micro-hybride MHEV avec un alternodémarreur à courroie développant 140 ch accouplés au choix à une boîte mécanique 6 rapports ou à une auto double embrayage à 7 rapports, ainsi qu’une mécanique hybride intégrale de dernière génération développant 156 ch cumulés, doté d’un quatre cylindres 1.8 à cycle Atkinson.
Un ensemble connu pour sa douceur à l’usage, sa grande sobriété mais ses passages de rapports lents quand on écrase le champignon, affiché à partir de 36 890 €. Un devis supérieur au Symbioz hybride le moins cher, pas vraiment compensé par l’équipement mais par la garantie, de 8 ans ou 160 000 km (conditionnée à un entretien dans le réseau).



Photos (6)
Déposer un commentaire
Alerte de modération
Alerte de modération