2. Enchères ce samedi 26 mars à Vannes: et des scooters anciens.

Le concept date du début du siècle dernier, mais ce n'est qu'après la deuxième guerre mondiale que le phénomène a vraiment explosé. De qui parle t-on? Du scooter.

Plusieurs exemplaires seront présentés, à commencer par les deux incontournables Vespa et Lambretta; le premier cité est un ACMA (fabrication française sous licence) possédant sa carte grise, mais avec un moteur bloqué (400 à 500 euros).

Quant au second, il n'a pas son "carton", mais son moulin n'est pas grippé (300 à 500 euros).

Les constructeurs français viseront eux aussi ce marché fleurissant. A Dijon, Terrot (ou Magnat Debon) proposera cette version avec ce nez si caractéristique. 300 à 500 euros, sans carte grise, non tournant mais pas bloqué.

Chez Motobécane, coté esthétique, on sera plus proche des standards italiens. Le modèle présenté ici est sans carte grise, pas grippé mais avec un problème de kick (200 à 400 euros).

Toujours en France, Bernardet, plus connu pour sa production de side-cars, tentera l'aventure dans diverses cylindrées. Ici, c'est un 125cc a priori avec un moteur "maison" (l'Ydral avait le kick à gauche); sans carte grise et non tournant, il est proposé entre 200 et 400 euros.

Manurhin optera pour les grandes roues en "copiant" le 75cc déjà en production chez DKW. 300 à 500 euros sans carte grise pour cet exemplaire à peu près complet (verre de phare cassé) à restaurer entièrement.

Plus exotique, ce scooter autrichien nous vient de chez Puch. Complet, mais à restaurer entièrement (le moteur est bloqué), il est estimé entre 400 et 600 euros.

Découvrez tous de lots qui seront dispersés ce samedi en vous connectant sur le site www.svvruellan.com.