2. DS 7 restylée (2022) - Sur route : une grande homogénéité et le confort en prime
DS profite de ce restyling pour apporter des retouches aux motorisations présentes au catalogue. Ainsi, il n’y aura plus de moteurs essence mais les hybrides rechargeables seront plus nombreux avec l’introduction, pour la première fois, sur cette DS 7, d’une version E-Tense 360 ch – à l’essai prochainement sur Caradisiac dans quelques semaines - , inaugurée il y a quelques mois sur la berline routière, la DS9. À côté de celle-ci, on retrouve des moteurs déjà présents les hybrides rechargeables de 225 et 300 ch, qui profitent toutefois d’une nouvelle batterie de 14,2 kWh permettant d’augmenter l’autonomie en électrique de 10 km soit un total de 65 km. Enfin, contrairement à d’autres marques, DS ne fait pas l’impasse sur le diesel avec le BlueHDI 130 ch toujours au catalogue.
Et aujourd’hui pour ce premier essai, nous avons eu entre les mains, une DS 7 E-Tense 225 ch qui se compose pour rappel d’un moteur thermique de 180 ch couplé à un bloc électrique de 81 kW (soit 110 ch). Une motorisation hybride rechargeable qui permet de disposer d’un couple de 360 Nm. De quoi abattre le 0 à 100 km/h en 8,9 s et d’atteindre une vitesse maximale de 225 km/h.
Cette motorisation est bien connue puisqu’elle équipe de nombreux modèles du groupe Stellantis. Il s’agit d’une association agréable, qui permet de bénéficier de bonnes reprises. Les passages de l’électrique au thermique sont relativement discrets et le mariage avec la boîte automatique à 8 rapports est sans histoire. De quoi assurer de longues distances en toute tranquillité, ce qui correspond parfaitement à l’usage familial de cette DS 7.
Pour ce qui est de la recharge, comptez 7 heures sur une prise domestique et 2 heures sur une borne 7,4 kW. Le système de récupération est classique chez Stellantis puisque la régénération s’effectue au levé de pied et peut être renforcée par un mode « B » (pour Brake). Pour ce qui est de la consommation, nous avons relevé une moyenne de 6,5 l/100 km lors d’un parcours effectué dans l’arrière-pays niçois très vallonné. Concernant, l’autonomie électrique, comptez une bonne quarantaine de kilomètres.
L’agrément de conduite est également dû à un comportement de premier ordre. Même si on aurait aimé une direction un peu plus consistante, on parvient facilement à placer le véhicule où l’on souhaite. Sans être le plus dynamique de sa catégorie, la DS7 bénéficie d’un bon équilibre avec un compromis dynamisme/confort convaincant. Même quand le rythme augmente, les passagers ne seront pas trop malmenés. Ils apprécieront surtout l’excellent travail des amortisseurs et des suspensions dû au DS Active Scan, qui permet de lire et d’anticiper les différentes irrégularités de la route grâce à des caméras.
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