Retrouvez-nous demain pour les premières images en direct de l'essai de la Nissan Leaf 3
Elle fut pionnière de la nouvelle vague de véhicules électrique avec sa première génération en 2011, avant de se faire distancer largement par la concurrence. Mais Nissan n'abandonne pas pour autant sa Leaf, et lui offre une troisième génération, qui gomme a priori les principaux défauts de sa devancière. Retrouvez-nous demain pour les premières images en direct de l'essai.

Elle a fait les beaux jours de Nissan, la Leaf, au (re)commencement de la voiture électrique. Il s'en est écoulé 700 000 exemplaires dans le monde, ce qui n'est pas rien. Mais très peu sur notre marché, où elle fut handicapée par des batteries assez petites, pour la première génération, et donc des autonomies faibles, mais surtout par une batterie à refroidissement par air, qui ne tenait pas le choc au niveau de la recharge rapide, y compris sur la seconde génération, la sortante, tandis que sa prise de recharge à la norme ChaDeMo, limitée à 50 kW et rarement proposée sur les bornes européennes, mettait à mal ses capacités à voyager.
Mais tout cela, c'est du passé. Nissan propose aujourd"hui une troisième génération, qui compte bien compter à nouveau au sein de sa concurrence. D'ailleurs quelle est-elle ? Car la Leaf passe de berline compacte plutôt grande (4,48 m), à crossover/petit SUV de 4,35 m de long (et coffre de 447 litres), à mi-chemin entre un urbain et un compact. Du coup, il faudra lui trouver des concurrentes côté Renault Mégane e-Tech, Scénic e-Tech, Peugeot E-2008, Citroën E-C3 Aircross, Opel Frontera électrique, Honda e:Ny1 ou Kona électrique.

La nouvelle Leaf proposera deux capacités de batterie. Une petite de 52 kWh pour plus de 440 km d'autonomie annoncée, alimente un moteur de 130 kW, soit 177 ch. Une grosse de 75 kWh, qui annonce jusqu'à 622 km sur une charge complète, alimente, elle, un moteur de 160 kW, soit 218 ch.
Un 20 à 80 % en moins de 30 minutes
Pour récupérer de l'énergie, la petite batterie peut se brancher en 7,4 kW en courant alternatif (11 kW en option), et la grosse à 11 kW. En charge rapide, la petite accepte 105 kW, et la grosse peut encaisser 150 kW, de valeurs désormais très moyennes. Cela permet de récupérer de 20 à 80 % de charge en moins de 30 minutes, quelle que soit l'accumulateur. Et cette fois, la prise est un Combo CCS 2, qui permet de se brancher partout, ouf.
Enfin, esthétiquement, la Leaf 3 ressemble à l'extérieur à un petit Ariya, le grand frère électrique de gabarit compact, et arbore surtout un poupe particulière, avec son bandeau noir et ses feux effet 3D. Dans l'habitacle, la planche de bord est épurée, avec peu de boutons (mais ceux-ci font très années 90 !), et une double dalle numérique de belle taille (2 x 14,3 pouces).
Après une prise en main réalisée rapidement en région parisienne fin juillet, nous prenons le volant demain pour le "vrai essai", qui aura lieu dans la région de Copenhague au Danemark. La topographie y est favorable aux consommations électriques basses en tout cas. Vous retrouverez demain les premières images en direct de notre essai.
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