Par Gastor
Cette attaque quelques jours seulement après la présentation de la plateforme électrique Ferrari tombe vraiment mal.
Ferrari joue les fiers-à-bras en traitant les sportives électriques chinoises d’éléphants, mais à trop vouloir rentrer dans le jeu où ils ont tant à perdre (désigner l’ennemi), il leur donne plus de poids qu’ils n’en avaient. Erreur classique : à vouloir ridiculiser, on finit par légitimer. En les pointant du doigt comme des monstres de puissance, Ferrari ne les rabaisse pas - il les consacre comme les nouveaux patrons du terrain qu’il croyait maîtriser.
Comme le dit la formule "ce n’est pas toi qui choisis ton ennemi, c’est lui qui te choisit", les Chinois ont choisi Ferrari et ils ne viennent pas pour discuter visiblement !!