Face à une demande en forte baisse de motorisations diesel, BMW Angleterre réduit drastiquement son offre mazout. Une tendance que l’on pourrait bien voir arriver chez nous…
Le plan social annoncé par la marque américaine à travers l'Europe est un mauvais présage pour l'industrie automobile du vieux continent en général qui, selon toutes les prévisions, devrait perdre nombre d'emplois.
Alors que l’Union européenne veut céder à l’Allemagne sur l’autorisation des voitures thermiques neuves à carburant synthétique après 2035, le Ministre de l’économie français Bruno Le Maire veut forcer le pays à abandonner cette idée !
Avec l’arrivée des voitures électriques, le nombre de voitures thermiques neuves baisse depuis 2017. Et la tendance ne devrait jamais plus s’inverser dans le futur…
Afin de satisfaire l’Allemagne, la Commission européenne propose d’autoriser la vente de voitures fonctionnant avec du carburant synthétique après 2035.
Le groupe Stellantis vient de signer un accord avec les autorités sud-africaines pour mettre en place une usine de production en Afrique du Sud. Le groupe souhaite ainsi vendre un million de véhicules dans la région d’ici 2030.
Endetté, vendu par tranches, le groupe Renault a connu des jours plus glorieux. Pourtant, les agences de notation, et derrière elles, les marchés, croient dur comme fer en l'avenir de l'ex-régie, et au plan ambitieux de Luca de Meo. Ils considèrent même que le grand perdant de la mini-Alliance redessinée il y a quelques jours n'est pas Renault, mais bel et bien Nissan.
Rebelote. À croire que dès qu'un parlementaire se penche sérieusement sur le sujet, sa conclusion finit toujours par être la même : l'État doit rompre les contrats de concession d'autoroutes, du moins ceux de Vinci et d'Eiffage, afin de mettre un terme à leur surrentabilité. Et cette fois, ce n'est même pas un élu de gauche qui le dit !
Mieux vaut ne pas tomber en panne ou faire un bobo à sa Tesla. Les modèles de la marque présentent des coûts de réparation très élevés, supérieurs de 56 % par rapport à la moyenne.
La Commission du contentieux du stationnement payant semble totalement dépassée par les événements puisqu’il faut compter en moyenne deux ans pour qu’une amende contestée soit jugée.
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