La région Île-de-France vous encourage à utiliser les transports en commun. Elle développe d'ailleurs son réseau de tramway afin de vous proposer une alternative efficace à la voiture personnelle.
La Mazda MX-5 est un petit roadster désirable et joueur. C'est donc tout naturellement que les Anglais ont vite fait de l'adopter sitôt sa commercialisation lancée il y a vingt ans. Au pays de la Morgan, de la Triumph ou de la MG-B, le cabriolet Mazda se vend bien. A tel point que le chiffre des 100 000 exemplaires écoulés vient d'être atteint.
La Suisse veut permettre l’instauration de zones environnementales dans les villes pour répondre à une demande de certains cantons.
L'idée n'est pas neuve, puisque les Québécois l'ont déjà adoptée depuis plusieurs années. En France, pourtant, c'est une première et c'est la ville de Villennes-sur-Seine, dans les Yvelines, qui teste la première le concept de places de
Le OAK Racing a annoncé la semaine dernière l’ouverture d’un bureau d’études au Mans, au sein des anciens locaux du Luc Alphand Aventures, pour y développer son activité de constructeur et son engagement en LMP1 l’an prochain.
Concernant les transports en commun, le tramway fait figure d'alternative efficace à la voiture personnelle en zones urbaines : il est rapide, confortable, sécuritaire et il dessert les principaux lieux stratégiques.
Quel sera l’avenir sportif de Toyota ? Après son retrait de la F1, le géant japonais prépare son retour sur le devant de la scène mondiale du sport auto. Cela se fera-t-il par le WRC, le WTCC ou le DTM ?
OAK Racing, la structure de Jacques Nicolet, continue de se développer, notamment dans son activité de constructeur.
Pour se rendre à son travail, il est possible d'opter pour divers moyens de transport en fonction des distances à parcourir et des lieux concernés : prendre sa voiture personnelle, pratiquer le co-voiturage, emprunter les transports en commun et utiliser les modes de locomotion doux (vélo, trottinette...).
Ferdinand Piëch n'a jamais caché son attrait pour Alfa Roméo. Faute d'avoir pu acquérir le constructeur milanais, il s'était rabattu sur l'espagnol Seat qu'il souhaitait transformer en un « Alfa Roméo espagnol ». En vain. Encore une fois, le groupe allemand s'est dit intéressé par l'achat d'Alfa Romeo, encore une fois Fiat a refusé.
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