Bien positionnée
Le surcoût par rapport à la Micra « classique » est de 1400 €. Un investissement qui sera très vite rentabilisé au regard des économies de consommation. Les tarifs démarrent à 12 460 € et plafonnent à 17 150 € pour la version haute Lolita Lempicka. Un positionnement médian face au 1.2 Tce de la Twingo disponible uniquement en haut de de gamme (15 800 €) ou au 1.2 Tsi 105 ch de la Volkswagen Polo, qui lui, flirte avec les 20 000 €, en haut de gamme.
En dépit de plastiques sont durs, la Micra brille par son aménagement. Habitabilité et volume ont été privilégiés
Cette version DIG-S se distingue esthétiquement de son homologue « atmo » par la présence d'un becquet sur la partie arrière. Pour le reste, les prestations intérieures sont similaires. L’aménagement est optimisé de façon à libérer le maximum d’espace pour les passagers. L’espace aux jambes, la garde au toit et le volume de coffre sont bien meilleurs que par le passé. Et cerise sur le gâteau, la Micra dispose d’une banquette arrière escamotable.
L’habitacle regorge de rangements (porte-canettes, boite à gants à 3 niveaux, etc.) . Les plastiques sont durs et vieilliront surement mal, mais compte tenu du prix, Nissan propose tout de même une planche de bord bi-ton. A choisir selon les niveaux de finition. Le dessin général est moins en vogue qu’auparavant mais l’on retrouve quelques références « modes » comme les poignées de portes et la console de climatisation issues du Cube. Les fidèles auront toujours la possibilité de ranger des objets sous l’assise passager.
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