Du côté du constructeur français Peugeot, cela sent la revanche. Plus fortes sur le papier l’an passé, les 908 avaient tout de même dû finalement d’incliner face aux R10 en fin de carrière. La défaite avait été amère dans le camp français. Et avait imposé une réorganisation qui s’est notamment traduite par l’arrivée d’Olivier Quesnel à la tête de Peugeot Sport l’hiver dernier. Avec semble-t-il d’indéniables effets positifs sur l’organisation et la rigueur de la gestion de l’équipe de course.
L’auto quant à elle est forte de sa maturité. Performante et fiable, la 908 HDi FAP a tout pour s’imposer. Et puis, elle doit se montrer à la hauteur de son aînée… une certaine Peugeot 905, terreur des 24 Heures du Mans au début des années 90, avec Jean Todt aux manettes.
Aujourd’hui, Peugeot Sport a pris le parti, dans sa communication officielle, de se présenter comme le challenger. Pas de revanche dans l’air donc officiellement. Mais sûrement le vif désir de s’imposer. D’autant que vu les évolutions réglementaires en vue c’est peut-être l’année ou jamais pour Peugeot. Lequel pourra aussi compter, outre ses trois voitures officielles, sur la voiture engagée par Pescarolo Sport. Un atout ?
Vivement la course !
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