Le renouveau
A partir de la fin du printemps 2002, la 626 laissait peu à peu la place à la Mazda 6. Malgré les qualités de la nouvelle venue, nous avions renoncé à publier son essai, doutant un peu de l’intérêt de cette nouveauté sur le marché français. Mea culpa, il se vend trois fois plus de Mazda 6 que de l’ancienne familiale de la marque. Il s’agit d’une des plus fortes progressions tout nouveaux modèles confondus. Même si cette performance doit être relativisée au regard des modestes scores de vente de la feue 626, il est symptomatique de l’intérêt suscité par sa remplaçante.Cet engouement tient sans doute à une ligne particulièrement aguicheuse, à la fois effilée et bien campée sur de larges voies, suggérant une réelle sportivité, sans tomber dans une agressivité ostentatoire. Une vraie réussite à notre avis, d’autant que ce caractère affirmé est partagé par les trois carrosseries disponibles, berlines 4 ou 5 portes aux profils très proches et le break, dénommé "FastWagon". Compte tenu de l’étendue de la gamme, cet essai se concentre sur la berline 4 portes, uniquement livrable avec la motorisation 2.3 et dans la seule finition Performance. Au cours de l’été, nous livrerons l’essai de la 5 portes et du break, associés aux motorisations Diesel 120 et 136 chevaux qui constituent l’essentiel des ventes.
Note Caradisiac : ****
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