Les impressions de conduite sont en bonne partie gommées par ce vaisseau qui fait la part belle au confort. Le remplacement des ressorts de l’ancienne A8 par une suspension pneumatique apporte un progrès flagrant. Sur ce point, difficile de dire si l’A8 égale ou surpasse la Série 7 ou la Classe S.
Le compromis confort/tenue de route s’oriente en tous cas délibérément du côté de chez BMW, laissant la Mercedes face à la VW Phaeton. Sur les petites routes des Vosges détrempées après l’orage, en plus d’une sécurité toujours remarquable (merci la transmission quattro), c’est bien l’agilité de ce vaisseau de 2 tonnes qui surprend (au contraire de la précédente), et il n’y a que dans les coins serrés que la belle s’efface devant une 740d. Mais côté moteur, Audi a remis les pendules à l’heure.
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