Long de 4,84 m, le nouveau Galaxy offre sept places, sachant que le déploiement des deux sièges du fond réduit drastiquement le volume de coffre, qui atteint alors péniblement 200 litres (comme une citadine) . Mais sauf à opter pour une camionnette aménagée type VW Transporter, on ne trouvera guère mieux chez la concurrence sur ce point.
Ceci admis, la hauteur du Galaxy permet à des adultes de voyager confortablement à l'arrière, ainsi que l'avait précisé Pierre Desjardins à la suite d'un premier contact réalisé en juin dernier.
Facile à vivre, le Galaxy regoit des portières ouvrant de façon classique mais quasiment à la perpendiculaire de la carrosserie, ce qui facilite l'accès à bord. Les sièges à fonction Easy entry procèdent du même esprit, et l'on note que sur les versions haut de gamme, le rabattage et le relevage des 5 places arrière peut être effectué de façon électrique, par le biais de tirettes implantées sur la paroi gauche du coffre. Malin !
Côté design, l'auto cultive l'air de famille avec le reste de la gamme Ford. Le mufle évoque ainsi celui de la Focus. La partie arrière, qui tombe de façon abrupte, tranche avec celle du S-Max, lequel cultive un esprit plus dynamique. Il est d'ailleurs moins haut de 9 cm, culminant à 1,66 m contre 1,75 m au nouveau Galaxy qui nous intéresse aujourd'hui.
La gamme de prix démarre à 37 100 € et culmine à 46 300 €, tous les moteurs étant des 2.0 TDCi de différentes puissances: 120, 150, 180 ou 210 ch.
L'instant Caradisiac: fidèle au poste
Ford ne vise pas de résultats commerciaux délirants avec ce Galaxy de troisème génération, qui lui permet surtout d'occuper une niche de marché de plus en plus désertée. L'auto s'oppose notamment à la VW Sharan, tandis que la Renault Espace a opté pour une solution plus stylée, mais moins pratique.
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