Essai vidéo - BMW Série 6 Cabriolet : un air d'excellence

Apparue en 1976, la Série 6 en est aujourd’hui à sa troisième génération. Des générations qui ont une durée de vie relativement longue puisque la première avait existé pendant 13 ans (1976-1989) tandis que la seconde est restée au catalogue pendant 6 ans (2004- 2010). C’est donc au tour de la 3e du nom de faire ses débuts, tout d’abord en cabriolet puis ensuite en coupé, probablement à la rentrée.

Élégante et dynamique

Le profil de la BMW Série 6 Cabriolet est particulièrement élégant

Comme tout véhicule haut de gamme qui se respecte, la Série 6 Cabriolet se devait d’avoir des lignes racées et c’est le cas. Cela se remarque tout de suite au niveau de la face avant qui reprend les codes stylistiques de la marque avec la large calandre composée de deux ouïes imposantes mais aussi une nouveauté avec des antibrouillards à LED. Toutefois, c’est surtout le profil qui est le plus réussi selon nous. Malgré une longueur conséquente de 4,90 m (+ 7 cm par rapport à la précédente génération, la Série 6 est un modèle d’équilibre et de classe avec des porte-à-faux assez courts, un empattement légèrement plus grand (+3 cm) et un pare-brise très incliné. Dans ce domaine, elle surclasse très largement son aïeule que ce soit en cabriolet ou en coupé. Elle ne renie pourtant pas totalement sa filiation puisqu’elle en conserve deux caractéristiques : les ailerons de la capote et la vitre arrière en verre.

Malgré les rumeurs qui avaient couru au sujet d’une Série 6 Coupé-Cabriolet, c’est finalement une capote en toile qui a été retenue comme couvre-chef. Celle-ci entièrement automatique ne demande que 19 secondes pour s’ouvrir et 24 pour se refermer. Cette cinématique peut également se faire en roulant jusqu’à 40 km/h et l’ouverture est commandable à distance avec la télécommande grâce à l’Accès Confort. Et pour ceux qui préfèreraient rouler  capoté, BMW a pensé à tout avec la possibilité de descendre juste la vitre AR.