Essai - Dacia Sandero Stepway : best-seller

La seconde génération de la Sandero est apparue fin 2012 et son succès ne se dément pas, comme c’était déjà le cas pour la première du nom née en 2009. Quand on observe plus précisément les chiffres, on se rend compte que ce sont les versions Stepway qui regroupent la majorité des ventes (70 %). Un phénomène identique s’était déjà produit sur la première Sandero de façon moins significative mais cette version représentait toutefois 50 % des ventes. Comment expliquer cela ?

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Avant tout, la réussite commerciale de la Stepway est due en grande partie à son look proche de celui-ci d’un petit SUV urbain. Les protections de caisse latérales, les boucliers avant et arrière spécifiques, les barres de toit ainsi que la garde au sol surélevée de 40 mm et les jantes alliage 16 pouces apportent une petite touche de luxe mais également de personnalité à la Sandero. Ainsi parée, elle fait passer les modèles classiques pour nettement plus fades. À l’intérieur, la seule originalité réside au niveau des sièges siglés Stepway. Pour le reste, on retrouve la planche de bord traditionnelle. Les plastiques sont durs mais leur qualité est tout à fait correcte. La présentation est plus cossue que sur les Sandero de base, grâce notamment aux inserts d’aluminium qui égayent légèrement l’ambiance intérieure, un peu triste.

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Avec une longueur similaire à la Sandero, les aspects pratiques sont le également avec un volume de coffre de 320 litres et une habitabilité arrière intéressante sans être la meilleure de la catégorie.