Février : Opel Adam S
C’est la filiale sportive d’Opel, OPC, qui s’est penchée sur la petite Adam pour lui donner des performances de sportive. Pas du sport de haut niveau, mais une bonne vitalité avec un passage de 0 à 100 km/h en 8s5. Sous le capot, le bloc 1.4 Turbo Ecotec développe 150 ch. C’est en matière de style que cette petite auto fait preuve de dynamisme avec une peinture bi-ton, des jantes de 18 pouces, un bouclier redessiné et plus ‘‘méchant’’, une sortie d'échappement plus large et un spoiler imposant dominant le hayon. Elle est commercialisée à partir de 18 900 €.
Mars : Hyundai i20 Coupé
Pour la première fois, la citadine Hyundai i20 reçoit l'apport d’une version coupé trois portes. Plus basse (25 mm) et plus longue (10 mm) que la cinq portes, cette carrosserie affiche un look sportif tout en conservant une habitabilité identique. Elle est aussi dotée d’un volume de coffre plus généreux (336 litres au lieu de 326 litres). Le Coupé reprend les trains roulants et les moteurs de sa soeur (1.2 84 ch et 1.4 100 ch essence, 1.1 CRDI 75 ch et 1.4 CRDI 90 ch en Diesel). Pour l’offre essence on attend un nouveau 3 cylindres turbocompressé à injection directe (100 ch et 120 ch) qui devrait donner un peu plus de pep à cette auto. Pour terminer, côté équipement, cinq portes et coupé sont logés à la même enseigne.
Mars : Mazda 2
Polyvalente, la Mazda 2 affiche un style original, une belle taille (4,06 m en longueur), une habitabilité dans la moyenne et un comportement routier de bon niveau. Équipée de trois blocs essence sans turbo (75, 90 et 105 ch) et d’un turbo Diesel de 105 ch, la ‘‘2’’ profite pleinement de ces blocs aux puissances limitées grâce à un poids mini (975 kg) qui lui permet d’afficher de belles performances. Néanmoins, la Mazda 2 s’apprécie le mieux avec les blocs les plus puissants, le 75 ch étant réservé à une utilisation urbaine. Proposée à un tarif d’entrée de gamme de 14 450 €, la Mazda 2 n’est pas vraiment donnée, mais elle compense avec de bons rapports prix/équipement et prix/prestations avec les finitions milieu et haut de gamme.
Mai : Honda Jazz
La petite Jazz qui existera toujours en version hybride (commercialisation à l’automne) change de look un peu en gagnant en dynamisme. La longueur a été augmentée de 15 mm tandis que l’empattement a été rallongé de 30 mm, afin de rendre l’habitacle toujours plus spacieux. Le volume de coffre est également en hausse. Sous le capot, on trouve un nouveau bloc essence 1,3 litre i-VTEC associé à une transmission manuelle à 6 rapports ou à une boîte système CVT semi-automatique.
Juin: Mini JCW
Une belle cure de vitamines pour la petite Anglaise. Sous sa robe ‘‘griffée’’ John Cooper Works, elle voit son moteur 2 litres turbo atteindre les 231 ch (contre 211 ch pour la précédente génération). Avec une telle puissance, les performances sont à la hauteur avec un 6s3 pour atteindre les 100 km/h.La Mini s’équipe également d’une suspension sport et de freins Brembo. Si de l’extérieur on distingue aisément la JCW des autres Mini, l’habitacle reçoit lui aussi un traitement particulier.
Juillet : Opel Karl
La remplaçante de l’Agila ne sera plus produite par Suzuki, mais par la division Chevrolet en Corée du Sud et dispose d’un bloc trois cylindres 1.0 Ecotec de 75 ch. Cette auto proposée en entrée de gamme à moins de 10 000 € est une 5 portes de 3,68m de long qui peut accueillir 5 personnes. Opel va faire un effort particulier pour l’équipement de cette petite auto qui recevra des accessoires inédits sur ce segment : Hill Start Assist (aide au démarrage en côte), Lane Departure Warning (alerte de changement de voie). Connectée, la Karl (du nom du fils du fondateur de la marque) dispose aussi du système multimédia Opel IntelliLink.
Août: Renault Twingo Sport
La Twingo devrait disposer d’une version sportive qui ne s’appellerait pas RS (Renault Sport) comme la précédente génération. Par rapport à l’ancienne Twingo RS au bloc 1.6 de 133 ch, la nouvelle sera moins puissante le petit trois cylindres 0.9 ne pouvant pas dépasser les 120/130 ch. C’est pourquoi Renault pourrait choisir de l’appeler tout simplement Sport ou GT. Sur les photos de la version de test (du mulet) on distingue les ouvertures sur les ailes arrière, les jantes plus larges… Pour le passage à la série, le look de l’auto devrait évoluer vers plus de dynamisme. On devrait en savoir plus au sujet de cette auto à l’occasion du prochain Salon de Genève en mars où elle devrait être présentée en avant-première.
Décembre : Citroën C3
La nouvelle C3 devrait être présentée vers l’automne, sans doute à Francfort, pour une commercialisation qui interviendra dans le courant de l’année 2016. Au programme de cette citadine française, un style conforme aux dernières productions de la marque (double optique à l’avant), une cure d’allègement de la plate-forme et des moteurs remaniés. Pas encore d’HybridAir pour cette auto qui devrait adopter plus tard une motorisation hybride inédite. Un moteur électrique facilitera le démarrage et propulsera l’auto sur les premiers mètres (les deux moments où l’on consomme le plus de carburant). Une de Stop & Start amélioré. En matière d’habitabilité et de confort, la petite Citroën devrait progresser.
Et aussi…
Juin : Peugeot 208 restylée
C’est à l’occasion du Salon de Genève en mars prochain que nous devrions découvrir la Peugeot 208 restylée. Ce lifting concernera la face avant avec un nouveau dessin des projecteurs, le passage du Lion au centre de la calandre. Sous le capot, l’on trouvera de nouvelles motorisations : en essence 1.2 e-THP 110 ch et pour le Diesel : 1.6 BlueHDi 75 et 100 chevaux. L’équipement devrait également progresser.
Septembre : Renault Clio restylée
Afin de se calquer sur Peugeot et sa 208, Renault profitera du passage des moteurs à l’Euro 6 pour donner un coup de jeune à sa Clio. Comme pour la Peugeot les principales modifications du style de cette auto concerneront la face avant.
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