2. Vente du 29 septembre à Mâcon : les « après-guerres »

Les machines d’après-guerre
La Motobécane D45S, c’est l’utilitaire classique de l’après-guerre. Son 125 cm3 4 temps à soupapes latérales a un appétit d’oiseau et vous amènera, si vous n’êtes pas pressé, au bout du monde. À redémarrer, on en attend entre 1 000 et 1 500 euros.

Les chemins de l’aviation et des motos se sont souvent croisés. Gnome & Rhône, avant de se lancer dans les deux-roues, fabriquait (et fabrique toujours) des moteurs d’avions. Cette 125 cm3 R4B de 1952 est estimée entre 1 000 et 1 500 euros.

Elle est toute mignonne cette Monet Goyon 100 cm3 S4G de 1949. Il faudra prévoir une bonne révision avant de reprendre la route mais rien de bien important (estimation entre 800 et 1 000 euros).

Là, nous avons une Royal Enfield Bullet 500 cm3 estimée entre 3 500 et 5 000 euros. On est déjà au-dessus du marché actuel. Mais là où le bât blesse, c’est qu’elle est annoncée comme étant de 1968 !!! Là, il y a anguille sous roche (ou baleine sous gravillon…).

On termine avec cette Triumph T100T Daytona annoncée de 1972. Elle a un peu moins de 20 000 kilomètres à son compteur et est décrite comme étant en bon état (estimation entre 4 000 et 6 000 euros).

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