Une Citroën Trèfle C3 de 1923 flashée en Allemagne
Entre les vols de plaques d’immatriculation et erreurs de relevé, les radars automatiques sont en train de créer l’insécurité routière. La preuve avec ce nouvel exemple qui dépasse nos frontières.

On connaît la sécurité routière qui a par ailleurs de plus en plus du mal à ne pas voir son image ternie par une démarche de fiscalité routière. Voilà que l’on découvre à présent l’insécurité routière alimentée par la généralisation des sanctions automatisées. Dernier exemple en date, cette affaire opposant le maire d’une commune française avec l’administration allemande, finalement pas plus infaillible que les autres.
Le modèle allemand est souvent cité lorsqu’il s’agit de décliner un thème sur fond d’exemplarité. Une réputation surfaite. C’est du moins ce que doit penser Eric Sarrès, ci-devant le maire de la commune de Monfort en Chalosse. Ce dernier a eu ainsi la mauvaise surprise de recevoir d’Allemagne un avis de contravention pour un excès de vitesse commis à Fribourg en août dernier. Une découverte pour l’intéressé qui n’est jamais allé dans la bonne ville fribourgeoise, et encore moins avec le véhicule identifié pour le dépassement de l’allure autorisée.
Car l’homme est aussi un collectionneur et il possède à ce titre une sympathique Citroën Trèfle C3 de 1923 qui n'a jamais quitté sa commune. Et dont la meilleure performance reconnue est une pointe à 40 km/h. Il faudra donc qu’Eric Sarrès s’explique et c’est là que les choses se corsent. Selon le quotidien Sud Ouest, la contestation du procès-verbal devra se faire en allemand, sauf à payer l’amende et accepte le retrait de points sur son permis.
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