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Non ? C'est pourtant ce pilote qui grimpera sur la deuxième KR du team Roberts à Donington. Cet Irlandais du Nord est le fils d'un autre pilote connu pour sévir régulièrement sur les épreuves routières, dont le fameux Tourist Trophy.
Non ? C'est pourtant ce pilote qui grimpera sur la deuxième KR du team Roberts à Donington. Cet Irlandais du Nord est le fils d'un autre pilote connu pour sévir régulièrement sur les épreuves routières, dont le fameux Tourist Trophy.
Mise à mal depuis l'entame de la saison, la troupe Michelin avait de quoi retrouver le sourire après ce Grand Prix d'Italie. Deux pilotes sur le podium aux deux premières places, l'issue d'une prestation en course totalement convaincante.
Alors que l'on attendait Randy De Puniet en début de saison, c'est pourtant Sylvain Guintoli qui est la satisfaction gauloise en cette année 2007 de Moto GP. Un Sylvin qui a eu du mal à maîtriser cette M. 1 dés sa prise en main, mais qui a réussi à la dompter au fil des mois, pour s'en rendre totalement maître depuis sa démonstration sarthoise.
Cette course sentait la poudre et elle n'a pas déçu. Avec un Lorenzo au départ qui avait rendu une partie du plateau amer, ce Grand Prix partait sous des auspices particuliers. Après un départ de feu de sa vingtième place, Lorenzo, après avoir percuté et arraché le silencieux de la KTM de Kallio, accédait très vite au top 5 pour se mêler à la lutte pour la victoire.
Si, jusque là, c'est l'hymne espagnol que a retenti sur la plaine du Mugello, Rossi s'est chargé de rappeler où l'on était, en remportant sa sixième victoire à domicile. Un record que seul Doohan détenait jusqu'alors dans le genre. Un Valentino qui a été tout simplement irrésistible, construisant son succès avec patience et détermination.
Belle course et belle affaire pour un Hector Faubel qui remporte sa seconde victoire de la saison. En terre italienne, il a fait jouer l'hymne ibérique tout en prenant les commandes du Championnat du Monde en même temps que Pesek perdait le contrôle de sa Derbi, dans le dernier tour.
« En partant de si loin, je vais montrer ce que je vaux ». Voilà quel était le sentiment de Jorge Lorenzo après sa qualification désastreuse, samedi. Une qualification qui réglementairement ne lui aurait pas permis de prendre la course ce Dimanche, son chrono n'entrant pas dans la fourchette des 107%, sésame pour prendre place sur une grille de départ.
Si l'on s'en était tenu à la règle qui veut que le pilote qui ne fait pas un chrono qualif d'une valeur au moins 107% équivalente à celle de la pole soit éliminé, le départ de la 250, demain, pour le Grand Prix d'Italie au Mugello aurait compté un effectif de dix neuf bonhommes.
Après un début de saison extrêmement décevant pendant que son équipier, Casey Stoner, remportait trois des cinq Grand Prix disputés, pour mieux s'installer aux commandes du Championnat du Monde, Loris Capirossi a appelé à l'aide un team Ducati à qui il a tant donné.
Au retour des box du team Kawasaki, les impressions d'Olivier Jacque différaient totalement de ceux de son voisin de pallier : " Cela faisait longtemps que je n'avais pas vécu une séance de qualifications aussi excitante. Notre stratégie a bien marché et j'ai obtenu mon meilleur résultat de qualifications en Moto GP.
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