La course des Moto Gp de dimanche, au Mans n'aura pas laissé les spectateurs indifférents. Je n'ose imaginer la folie dans les tribunes devant la chicane Dunlop quand De Puniet et Guintoli prennent la tête de la course à Rossi. La suite était trop belle, deux français en tête.
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L'homme à tout faire chez Yamaha et surtout à élever des champions pour engranger des titres, l'Australien Jeremy Burgess, s'est fendu d'un éloge appuyé sur le team Kawasaki, au lendemain d'un Grand Prix de France qui a décidément marqué bien des esprits.
Les essais du Mans ont été le théâtre d'un nouvel incident entre Stoner et Elias. Le troisième en trois Grand Prix consécutifs, auquel il faut ajouter les polémiques et autres accrochages où l'Espagnol a été impliqué en Turquie et en Chine avec Rossi, Barros et Hayden.
Au regard des résultats de ce début de saison de Moto GP, on aurait pu s'en douter. Voilà que maintenant, on en est certain, puisque c'est Valentino qui le dit lui-même : « Ce n'est pas une bonne règle pour notre sport.
Si le team du King Kenny a gagné sa course dans sa quête du budget nécessaire pour survivre dans une saison de Moto GP, voilà qu'il se trouve bel et bien dans une impasse technique avec son unique châssis maison motorisé par Honda. Une impasse qui a de nouveau été sanctionnée, au Mans, par une prestation calamiteuse.
Le Blues For Findlay c'est surtout toute la communauté motarde qui l'a ce blues depuis samedi soir alors que l'on apprenait le décès à son domicile de Vaucresson (Hauts-de-Seine), à l'âge de 71 ans de Jack Findlay.
Le blason de Mattighofen ambitionnait jouer le titre cette année après une probante saison 2006. Force est de constater que les choses sont allées dans le mauvais sens cet hiver pour les oranges loin d'être sanguines depuis le début du championnat.
Il était prévu pour être mis au repos et, effectivement, il est resté tranquille le matin, lorsque la piste était de nouveau mouillée. Les essais d'après Grand Prix, ce lundi, ne devaient plus intéressés un Nicky Hayden qui avait lourdement chuté la veille, peu avant l'arrivée, et alors qu'il évoluait à une belle quatrième place.
Si Jean Philippe Weber s'exprime ainsi au nom de Michelin au lendemain d'un Grand Prix national qui a tourné à la douche froide, au sens propre comme au figuré, ce n'est pas parce qu'il a pris un coup au moral. Non, c'est plutôt ainsi qu'il qualifie la nature des gommes livrées à ses clients.
C'est exactement au troisième tour avant l'arrivée que le Champion du Monde a fait les frais du temps désastreux qui régnait sur la France hier. Comme vous le disait mon compère André, c'est sur un freinage que l'américain a perdu le contrôle de sa machine.