
Perdre douze points sur son adversaire direct au championnat et voir ainsi son avance passer de trente à dix huit longueurs, cela s'appelle relancer les débats. Une aubaine pour le spectacle à trois Grands Prix de la fin des hostilités, mais aussi un scénario que goûte peu un Valentino Rossi qui aurait bien voulu, au Portugal, continuer à mettre son bouillant équipier Jorge Lorenzo sous l'éteignoir.