
Depuis Jerez, le paddock du Moto GP est sous tension et à Estoril on a pu voir que des poches de grisous s'étaient formées, prêtes à éclater à tout moment. Sur le dos d'un Simoncelli stigmatisé sur la base d'un a priori développé sur des incidents passés s'est constitué une sorte de front aux contours indécis mais au coeur fondamentalement anti-Rossi.