L'abandon de l'ambition Moto 2 de la part de la structure Kino Racing a de facto ouvert la perspective de voir celle de MZ quitter la zone de la liste d'attente pour intégrer officiellement les effectifs. D'ailleurs, le blason teuton a été de tous les tests durant cette intersaison, avec un Anthony West prêt à remettre le couvert en Grand Prix.
Le Moto 2 vient d'enregistrer la première défection dans sa grille plutôt fournie et ce à maintenant un mois du début des hostilités au Qatar. La structure espagnole Kino Racing a ainsi décidé d'arrêter son cinéma et c'est la mort dans l'âme que l'initiateur de ce projet, Kino Contreras, a donné le clap de fin.
Dans le cadre de la promotion du futur Grand Prix du Japon qui aura lieu le 25 avril et plus particulièrement celle d'un Moto 2 qui aura deux châssis nippons sur sa grille, Shinya Nakano a repris le guidon d'une machine de course quelques temps après avoir annoncé son retrait des affaires.
La belle Bimota HB4 n'a apparemment pas laissé insensible certains protagonistes du Moto 2 qui en sont tellement tombés amoureux qu'ils en ont changé leur plan. Ainsi la structure Stop § Go qui alignera le Thaïlandais Ratthapark Wilairot et qui espère encore enrôler Hector Faubel a décidé de lâcher la commande de son châssis Suter pour épouser la cause de Rimini.
Le Grand Prix de Grande Bretagne programmé le 20 juin prochain s'annonce à la fois enthousiasmant et difficile pour le Moto GP. Enthousiasmant parce que l'élite de la vitesse moto aura à découvrir un tracé profondément remanié, déjà annoncé comme la nouvelle cathédrale de la catégorie reine, un circuit technique et très rapide qu'il faudra maîtriser.
Début mars, c'est l'Espagne et plus particulièrement le tracé de Valence qui a accueilli la toute nouvelle catégorie Moto2. Deux jours d'essai on été nécessaires aux 34 pilotes pour peaufiner les réglages de leurs nouvelles montures et en prendre toute la mesure… Dans ce paquet d'énervé, l'écurie Tech3 s'aligne avec deux pilotes de pointe, Yuki Takahashi et Raffaele De Rosa.
Jusque là, Julian Simon semblait avoir assimilé d'emblée le fonctionnement de sa RSV quatre temps dont il disposera pour lutter dans la nouvelle catégorie Moto 2. A contrario, son équipier Mike Di Meglio paraissait emprunté dans la découverte de ce nouveau monde mais le dernier jour de Jerez a comme apporté une éclaircie dans le ciel du Français de chez Aspar.
La pluie n'a pas lâché les protagonistes du Moto 2 qui ont dû composer avec elle durant les trois jours de test organisés sur le tracé de Jerez. De quoi déprimer le nouveau plateau à l'image d'un Hervé Poncharal qui n'a pas hésité à dire qu'il avait perdu son temps.
C'est de nouveau la météo qui a été la vedette à Jerez pour un plateau Moto 2 qui avait déjà dû jouer à cache-cache avec le ciel la veille. Cette fois, c'est Elias qui s'est rendu maître de la situation, succédant à son ex équipier de chez Gresini De Angelis qui avait dominé vingt quatre heures plus tôt.
Avec Michaël Bartholemy il était l'un des noms qui donnaient au projet Marc VDS Racing une connotation typiquement belge au défi que la structure s'est décidée à relever en Moto 2 cette année. Un projet qui a pris corps puisque l'enseigne a participé aux premiers essais de l'intersaison avec son châssis Suter et sa paire de pilotes Redding-Lonbois.
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