Le comité régional de suivi et d’évaluation des impacts de la piétonisation d'une partie des voies sur berges a dressé un bilan complet un an après la mise en place de la mesure. La fermeture a entraîné plus de bouchons, n'a pas vraiment fait baisser la pollution et aurait un effet négatif sur l'activité des commerçants…
La 33 édition du Festival Automobile International se tiendra à Paris du 31 janvier au 4 février 2018. Les organisateurs confirment la présence en première européenne du Mazda Vision Coupé.
L'objectif de la mairie de Paris est clair et parfaitement assumé: diminuer drastiquement la place de la voiture au nom de la lutte antipollution. Pour ce faire, les pouvoirs publics emploient la manière forte. Bien trop forte en fait, et pour des résultats peu tangibles.
L'entreprise française Navya présente le tout premier robot-taxi autonome au monde. Un véhicule qui propose de réinventer la mobilité urbaine, et dont les premières expérimentations débuteront prochainement à Paris.
Et si, finalement, on s’était totalement trompé sur les ambitions d’Uber ? Et si ses véhicules de transport avec chauffeur n’avaient été finalement qu’un leurre pour un autre objectif : celui de la collecte de données stratégiques sur l’état du trafic afin de proposer aux villes des statistiques leur permettant d’orienter leur politique ? une interrogation qui se fait jour avec « Uber Movement » qui fait du coup d’Uber non plus le diable en personne mais le bon samaritain aidant à la rationalisation des flux…
La Mairie de Paris et la Préfecture de Police réfléchissent à mettre en place un système de contrôle automatique pour verbaliser les conducteurs qui n'ont pas la vignette Crit'Air ou ne respectent pas les restrictions de circulation. Très peu de PV ont été dressés depuis juillet.
On lui réduit son champ d’action et dans ce qui lui reste d’espace on lui impose des restrictions de circulation. On veut la bannir des cités, on culpabilise son usage et elle est un sujet de fiscalisation permanent. Vu comme ça, les jours de la voiture sont comptés, d’autant plus que les politiques sont décidés à l’envoyer à la casse. Mais ce n’est que la partie immergée de l’iceberg. En profondeur, l’automobile reste indispensable. Pire, ce qui se passe actuellement va exacerber une fracture sociale.
À Paris, les maires de douze grandes villes se sont engagés à ce qu’une part importante de leurs territoires devienne une zone à zéro émission d'ici une douzaine d'années.
La circulation des véhicules à Paris est décidément un sujet brûlant. Pèle mêle, on a déjà eu droit à la piétonisation des voies sur berge, aux vignettes écologiques discriminantes, et les carrefours sans feux tricolores vont apparaître tandis que la fin des véhicules à propulsion thermique a déjà été annoncée. Et ce n’est pas fini. L’arrivée des véhicules autonomes, ou l’apparition de nouvelles formes de mobilités partagées, qui vont du covoiturage à l’autopartage, changera encore la donne. Mais il y aura une constante : il faudra payer pour rouler.
C’est peut-être un coup d’arrêt pour une signalisation routière qui date de 1923. Le feu tricolore est à la croisée des chemins et au carrefour de toutes les réflexions. Côté politique, les verts voient rouge lorsqu’ils l’aperçoivent et ils ont décidé de l’éteindre à Paris, dans le cadre d'un projet baptisé "Stratégie piéton" de la Ville. Une mise à pied donc qui sera effective dans un 14e arrondissement de Paris qui testera la circulation sans feux rouges pendant six mois.