
L'INFO DU JOUR - Après Nissan, c'est au tour de Mitsubishi de quitter la table de l'entité électrique du groupe Renault. Sans actionnaire autre que le losange, et sans volonté d'introduction en Bourse, Ampère a-t-il encore des raisons d'exister ?
L'INFO DU JOUR - Après Nissan, c'est au tour de Mitsubishi de quitter la table de l'entité électrique du groupe Renault. Sans actionnaire autre que le losange, et sans volonté d'introduction en Bourse, Ampère a-t-il encore des raisons d'exister ?
Rien ne va plus entre les tourtereaux d'antan. Le président de Renault a claqué la porte du conseil d'administration de Nissan et n'attend qu'une chose : se débarrasser des actions qu'il détient chez ce dernier. Mais en parallèle, le Français doit veiller à ce que le Japonais aille mieux pour qu'il puisse les valoriser. Règlements de compte à OK Nissan.
Rendre plus abordable la petite voiture populaire en l’affranchissant des normes européennes dictées par les constructeurs allemands, c’est ce que réclament les deux patrons de Renault et Stellantis.
Ce 8 mai, les députés européens ont approuvé, à une forte majorité, le texte proposé en procédure d'urgence et qui modifie l'application des normes antipollution. Le couperet, et les amendes pour non-respect des 81 g en moyenne ne tomberont pas à la fin de cette année, mais en 2027.
L'INFO DU JOUR. Dans une interview croisée accordée au Figaro, les patrons des groupes Renault et Stellantis plaident pour une simplification des règles du marché européen, seul moyen selon eux de renouer avec une automobile "populaire". Si rien n’est fait, ils redoutent à l’inverse une division de moitié du marché européen à l’horizon 2035.
L'INFO DU JOUR. Si les 155 000 € réclamés par Renault aux futurs acquéreurs de la R5 Turbo 3E semblent démesurés, ils sont surtout le signe que l'entreprise a retrouvé une pleine confiance en elle-même après une passe particulièrement délicate.
L'INFO DU JOUR - Le losange a tout intérêt à chouchouter son ex-partenaire de l'Alliance. Il en va des accords industriels entre les deux marques, qui permettent à Renault de faire des économies d'échelle, comme des actions que le Français détient chez le Japonais et qu'il aimerait bien voir repartir à la hausse et valoriser.
L'INFO DU JOUR - Alors que l'Europe se met en ordre de marche pour se remilitariser rapidement, les industriels de l'automobile pourraient bien être sollicités. Des équipementiers aux constructeurs, en passant par les modèles compatibles, passage en revue des troupes.
Les explications du directeur général du groupe Renault sur l’abandon du moteur conçu en interne ne cadrent pas avec les règles imposées actuellement par la discipline ni le fonctionnement de ses concurrents.
Quelques jours avant de lâcher son partenaire sur la coentreprise Hyvia visant à commercialiser des utilitaires à hydrogène, le directeur général de Renault avouait son scepticisme sur l’hydrogène aux députés de l’Assemblée nationale. Le constructeur français ne croit plus vraiment dans cette technologie.
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