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Les clients européens se rueraient-ils sur le Baojun Yueye, un tout petit 4x4 électrique chinois qui fait furieusement penser à un Suzuki Jimny plus compatible avec les normes du Vieux Continent ?

-37,9% sur un an et même -40% de décembre à janvier 2023. Voilà l’état actuel des ventes sur le marché automobile chinois, fortement perturbé par la fin des aides à l’achat de voitures électriques et hybrides en plus d’un contexte social particulier.

Alors que la Chine vient d’interdire l’exportation d’éléments indispensables dans la fabrication de panneaux solaires, pourrait-elle essayer de bloquer les projets américains et européens de construction locale de voitures électriques ?

La Chine a déjà dépassé l’Allemagne au registre des exportations automobiles. Elle devrait bientôt dépasser le Japon et devenir le premier pays exportateur de voitures au monde.

Longtemps, personne n’a bien pris au sérieux les constructeurs chinois. Mais à Bruxelles, comme à Paris trois mois plus tôt, ils exposent des gammes de plus en plus intéressantes.

Véritable « game changer » de l’industrie automobile, Tesla affiche un bilan 2022 positif, même si quelques nuages apparaissent à l’horizon.

Le salon de Ghangzhou (Canton) en Chine a bien failli ne jamais avoir lieu. Rien à voir avec l’épidémie de covid-19 dans le pays, mais plutôt avec un évènement imprévu sur le stand d’un des exposants.

La marque chinoise se développe petit à petit en Europe. Son dernier-né, l’EC7, mise sur son design, mais aussi sa haute technologie embarquée pour faire parler de lui.

Renault ayant cessé ses activités industrielle en Russie, le pays a relancé la production de la marque Moskvitch, symbole de la période soviétique.

Les ambitions européennes des constructeurs chinois sont élevées, et s’appuieront sur une offre de produits de qualité. Dans cette optique, les résultats aux crash-test revêtent une importance prépondérante