Ceux qui ont commencé à suivre les Jeux Olympiques l'ont peut-être remarqué : Nissan est omniprésent puisque la marque nippone est partenaire officiel des "JO". Le constructeur couvre donc la plupart des évènements où il y a un besoin d'automobiles, en plus de transporter les sportifs, et Carlos Ghosn n'a lui non plus pas manqué sa sortie médiatique en portant la flamme olympique sur son trajet.
L’automobile française est décidément en forme en cette année 2016. Après PSA Peugeot Citroën hier, c’est au tour de Renault d'annoncer de très bons résultats semestriels.
La rémunération de Carlos Ghosn n’est pas un sujet clos. Preuve en est, cette journée passée à l’Assemblée Nationale où le nom de celui qui préside aux destinées du groupe Renault-Nissan a été prononcé. Et pas pour des félicitations. Au contraire, c’est le ministre de l’Economie qui est monté au créneau, appelant au sens des responsabilités de l’intéressé.
Si son salaire pour la gouvernance de Renault avait explosé en 2014, l'an dernier, Carlos Ghosn n'a eu "que" 0,49 % d'augmentation de son salaire qui a plafonné à 7,251 millions d'euros pour l'exercice 2015. Evidemment, sa rémunération globale est bien plus importante puisqu'il faut y rajouter les millions pour la gestion de Nissan.
Chose promise, chose due ! Renault avait annoncé il y a quelques jours de nouvelles embauches sur le territoire national en contrat de travail à durée indéterminée. Un besoin se chiffrant à 1 000 effectifs, un cap symbolique tandis que les comptes du losange confirment une santé retrouvée. Les premiers recrutements sont lancés puisque le constructeur tricolore recrute près de 400 CDI pour ses usines françaises.
Le 16 février 2016 restera comme une date importante pour Alpine: la marque a dévoilé le concept Alpine Vision, qui préfigure à 80% le modèle définitif qui sera dévoilé à l'automne. Caradisiac était de la partie lors d'un évènement organisé à Monaco, et vous présente les premières vidéos de l'auto.
Dans une automobile de plus en plus connectée qui roule doucement mais sûrement vers son autonomie, les enjeux de demain se situent moins dans les parties mécaniques que dans la sphère électronique. L’occasion d’ouvrir de nouvelles voies de développement naguère laissées pour compte. Comme, bientôt, on nous promet que l’on n’aura plus rien à faire une fois embarqué dans sa voiture intelligente, il s’agit de penser à notre confort. Voire même à notre bien-être. Une idée que Renault envisage de pousser jusqu’au paroxysme.
L'affaire Volkswagen a provoqué quelques remous politiques qui ont mené à diverses enquêtes indépendantes. L'une d'elle a trouvé que certaines Renault dépassaient un peu trop la valeur théorique d'émissions d'oxydes d'azote. Carlos Ghosn s'est enfin exprimé sur le sujet et enterre tout malentendu : non, Renault n'est pas à incriminer au même titre que Volkswagen.
L'association écologiste Greenpeace a établi un classement des constructeurs automobiles les plus actifs auprès des institutions européennes. Et le champion du lobbying est Volkswagen, qui en 2014 a dépensé 3,3 millions d'euros pour défendre ses intérêts à Bruxelles.
Ce n’était sans doute pas vraiment le sujet à aborder en ce moment, mais Carlos Ghosn, le patron du groupe automobile Renault-Nissan n’est pas du genre à s’arrêter à ce genre d’opportunité. Lorsqu’il a quelque-chose à dire, il en cause et actuellement, il a de quoi s’exprimer du côté d’Aix-en-Provence, lieu des 15e Rencontres économiques. Après avoir parlé des prochaines évolutions de son cœur de métier qui sera amené à travailler avec de nouveaux acteurs et à réviser nombre de ses certitudes, il a glissé un mot sur les voitures autonomes. En signalant une conséquence inévitable de ce type de locomotion : l’inutilité des taxis.