Les immatriculations ont reculé de quasiment 5 % en novembre. Peugeot est large leader, profitant d'un beau gadin de Renault. Dacia est en super forme, tandis que Nissan et Audi se plantent à nouveau. L'électrique atteint 2 % de part de marché.
Quels seront les choix des automobilistes pour leur prochaine voiture ? Pour le savoir, nous avons analysé l'évolution des courbes des ventes et surtout observé les nouveautés dévoilées ces derniers mois, avec en tête un postulat simple : la demande crée l'offre et l'offre crée la demande ! Voici en quelque sorte le portrait-robot de ce que sera la voiture la plus demandée en France en 2019.
Après les soubresauts provoqués par la norme WLTP, le marché connaît un retour à la normale, même si les ventes totales ont un peu baissé en octobre. PSA est à la fête, le groupe Volkswagen grimace encore.
Au troisième trimestre 2018, le groupe Renault a sauvé les meubles grâce à ses résultats européens. En dehors du Vieux Continent, il traverse une mauvaise passe.
Sans surprise, après une envolée en août, les immatriculations ont fortement baissé en septembre, un autre effet de la généralisation de la norme WLTP. La chute est prononcée chez ceux qui avaient fait du stock cet été, comme Nissan ou le groupe Fiat.
Le mois d'août est traditionnellement calme. Mais cette année, le nombre d'immatriculations de voitures neuves a explosé : + 40 %. La raison ? La norme WLTP, qui a poussé des marques à faire des stocks.
L’application imminente de la nouvelle norme d’homologation WLTP, plus stricte, fait exploser les ventes sur le marché français en août, révèle ce matin notre confrère du Journal de l'Automobile. C’est le moment d’acheter !
Au niveau mondial, les immatriculations ont progressé. La Chine et les États-Unis restent, de loin, les plus gros marchés. La France est dans le Top 10. Mais aucun de nos constructeurs n'arrive à placer de modèle dans les 30 meilleures ventes de la planète.
Dans l'ensemble, le marché de l'occasion est déprimé. Mais une catégorie de voitures est particulièrement recherchée en ce moment : les modèles récents à moteur essence.
L'été est normalement une période calme pour le marché français. Mais les immatriculations se sont envolées en juillet, avec une augmentation de 18,9 %. L'embellie profite à quasiment tous les constructeurs, à commencer par les hexagonaux.