Avec l’Ecole des Métiers de l’Autoroute, Vinci Autoroutes propose un cursus qualifiant dans un secteur qui fonctionne plutôt bien.
Vinci Autoroutes a récemment détaillé à une poignée de médias ses axes de reflexion pour une mobilité décarbonée sur le grand ruban. Le but est louable, les ambitions élevées, mais le tout suppose des investissements pour le moins conséquents.
Le 1er février, les prix des péages vont augmenter de 2 % en moyenne. Découvrez les nouveaux prix sur les principaux trajets dans l'Hexagone.
Sur le sujet autoroutier, régulièrement médiatisé, il est pour le gouvernement urgent de ne rien faire. À l’entendre, la nationalisation des sociétés d’autoroutes (ou la rupture anticipée de leurs contrats) coûterait trop cher à l’État, de l’ordre de 40 à 50 milliards d’euros, alors qu’il suffit de patienter jusqu’à la fin des contrats avec Vinci, Eiffage et Abertis pour pouvoir reprendre la main sans rien avoir à débourser. Vrai ? Pas du tout… Retour sur cette problématique pour essayer d’y voir plus clair.
En 2020, autant l'impact du Covid s'est fait sentir sur les chiffres de l'accidentalité, autant c'est loin d'être évident sur ceux de la répression routière. Le nombre de PV issus des radars a même légèrement progressé (+2,5 %). En un an, l'efficacité du système s'est grandement améliorée, alors que le rendement des machines ne cesse de décliner. Les premières données perceptibles sur les tourelles sont loin d'affoler les compteurs, même si celui de la rocade intérieure de Bordeaux compte parmi les 10 radars fixes les plus flasheurs.
Ne rêvez pas, ce ne sera pas gratuit : les barrières seront remplacées par des portiques où il ne faudra pas marquer l'arrêt.
Ce tronçon de 24 km doit désengorger l'A35. C'est l'aboutissement d'un projet débattu depuis 1973 !
Le 1er février, les prix devraient augmenter de 2 % en moyenne.
Un nouvel accident mortel pour un dépanneur sur autoroute a incité le CNPA et la Fédération des dépanneurs à rappeler qu'il existe désormais ce que l'on appelle le corridor de sécurité.
Sebastian Vettel, pilote de F1 au sein de l'écurie Aston Martin, explique qu'il ne comprend même pas comment peut-on défendre l'absence de limitation de vitesse sur autoroute dans son pays, l'Allemagne.