À 91 ans, l'écrivain et auteur de science-fiction Philippe Curval vient de craquer pour une Honda E. Une auto bourrée de technologie en harmonie avec son œuvre forte de 47 romans d'anticipation. Son autonomie jugée restreinte ? Elle ne lui pose aucun problème. Quant au prix de l'électrique Japonaise, réputée élevé, c'est la bonne surprise que le concessionnaire lui a réservé au moment de l'achat.
Souvent les alfistes ont un goût prononcé pour les moteurs essence. Pas Hervé. Ce responsable informatique de Rueil Malmaison dans les Hauts de Seine, qui a testé les deux motorisations, préfère la version gazole, pour le couple qu'elle offre, et pour sa consommation mesurée bien sûr.
Pour ce passionné de moto, un univers dans lequel il travaille, les voitures n'étaient jusqu'ici qu'un simple moyen de déplacement. Mais depuis qu'il s'est offert une Alpine A110S, il découvre les joies que procurent une sportive à quatre roues, sur route comme sur circuit. Résultat : 5 000 km en trois mois. Un gros score pour une auto qu'il ne destine pourtant qu'aux loisirs.
Il aime les voitures, et pourtant, au côté de son imposante Mercedes Classe R, le technico-commercial tourangeau aligne une Renault Zoe qu'il utilise pour ses déplacements quotidiens. Un choix raisonnable qu'il ne regrette absolument pas. Même s'il ne compte pas racheter la même voiture lorsqu'il sera temps d'en changer.
L'an passé, le chauffeur routier installé en France depuis 2018, a décidé de remplacer sa Megane. Sans être fixé sur un modèle particulier, il a des exigences précises en matière d'équipements. Alors, pour éviter de piocher dans des longs catalogues d'options, il a choisi une Mazda CX30 ou toutes ses volontés sont de série.
Elle conduisait sa Mercedes Classe A depuis quinze ans, mais celle-ci montrait des signes de fatigue et pas question d'investir dans une nouvelle boîte de vitesses. Alors Marie-Françoise a changé pour une Renault Twingo flambant neuve. Surprise : elle trouve la petite française plus nerveuse que l'Allemande.
Son SUV urbain acheté neuf, Alain l'a choisi pour remplacer son ludospace hors d'âge. Mais pour obtenir une remise de 1 200 euros, il a laissé en reprise l'auto de son fils : un Citroën Berlingo de 20 ans, et 360 000 km. Une tractation possible, selon le vendeur de la concession.
Sa femme accapare le monospace familial tandis que l'une de ses filles lui a définitivement emprunté sa petite citadine. Alors Abel, élu local dans la vallée de la Loire, s'est mis à la recherche d'une auto du quotidien pas trop chère. Chance, son voisin d'en face déménage et cherche à se débarrasser d'une Jaguar S-Type diesel en parfait état. Marché conclu.
Après avoir découvert la voiture d'un ami qui ne roulait plus depuis trois ans, ce retraité de Carnac en Bretagne décide de la racheter. Une bonne idée : la berline-coupé allemande dotée d'un V6 est en parfait état pour un kilométrage pas trop élevé et une somme raisonnable.
Il s'est offert le SUV roumain l'été dernier. Depuis, Fred accumule les pannes. Pour autant, il garde le moral et reconnaît même des qualités à son auto, à laquelle il a fini par s'attacher. Tout en remerciant chaque jour sa femme d'avoir insisté pour prendre une extension de garantie lors de l'achat.