Kia Niro: restylé, ah bon? - Vidéo en direct du salon de Genève 2019
Moins de trois ans après sa commercialisation, le Kia Niro reçoit de - très - légères retouches esthétiques et techniques.
Le Coréen Kia est l’un des constructeurs en forme du moment, avec 10 ans de croissance consécutive de ses ventes et une année 2018 record en Europe. C’est dans ce contexte qu’il procède au restylage de son crossover Niro, trois ans après le lancement commercial de celui-ci, ce qui est court.Les retouches sont toutefois des plus légères en termes de style, puisqu’il est inutile de bouleverser une recette qui a fait ses preuves et plait au public.
Le Niro nouveau se reconnaît donc à son bouclier avant redessiné, lequel est surplombé par la calandre dite « nez de tigre » caractéristique de la marque. Ladite calandre se voit encadrée par des feux redessinés, tandis que de nouveaux feux de jour à led en forme de double flèche font leur apparition sous les projecteurs.
Reposant sur des roues de 16 ou 18 pouces, le Niro nouveau soigne aussi l’intérieur, où apparaissent des matériaux voulus plus valorisants. Un écran central de 10,25 pouces de diagonale garnit la console centrale sur les versions haut de gamme, et celui-ci se combine à une instrumentation à affichage numérique.
Le Niro progresse aussi en termes de connectivité, avec un système jusqu’ici inédit permettant l’accès à de nombreuses données multimédia, comme les conditions de circulation, le prix des carburants, ou bien encore la disponibilité de bornes de recharge électrique. Ce système dit UVO Connect agit donc comme un véritable copilote embarqué.
Sous le capot, pas de changement. Le bloc thermique est un 1.6 essence, couplé à une boîte double embrayage 6 rapports. La puissance cumulée est de 141 ch sur les deux variantes, hybride ou hybride rechargeable. Cette dernière promet quant à elle une autonomie en 100 % électrique d’une cinquantaine de kilomètres.
Côté équipements, le régulateur de vitesse adaptatif se perfectionne en adoptant une fonction arrêt et redémarrage. Ainsi gréée, l’auto gère accélération, freinage et direction jusqu'à une vitesse de 180 km/h, le tout sous la vigilance active du conducteur. Il n’est pas encore question de conduite autonome, même si on s’en approche à grands pas.
L'instant Caradisiac: Kia vu Hyundai?
Si Kia a fait le déplacement à Genève, ce n'est pas le cas de son cousin Hyundai (les deux constructeurs appartiennent au même groupe) qui prétexte l'absence de nouveautés à présenter. Une absence d'autant plus regrettable que Hyundai dispose d'une gamme de plus en plus dans l'air du temps, composée de plusieurs véhicules hybrides et électriques, ainsi que de SUV compacts.
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