Essai - Kawasaki ZX-10R ABS 2011 : En vert et contre tous...
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Après plusieurs décennies de domination, le marché Japonais a été mis à mal par trois bombes Européennes bourrées d'électronique et de chevaux. Pour revenir dans cette course à la performance, Kawasaki est la première marque du pays du soleil levant à dégainer son arme, la toute nouvelle Ninja ZX-10R…
Aujourd'hui, pour faire parti de l'élite de la catégorie Superbike, il faut réunir plusieurs atouts. Une puissance qui dépasse ou flirte avec les 200 chevaux et une électronique particulièrement bien développée permettant à n'importe quel guss de se prendre pour un pilote. Comprenez par là un système de freinage ABS de dernière génération, des cartographies d'injection paramétrables dans tous les sens, un contrôle de traction, d'un embrayage anti-dribble mais aussi un Launch Control et un shifter pour les plus dévergondées.
Aujourd'hui, les marques Européennes s'en tirent avec les premières places avec un trio de tête composé de la Ducati 1198 SP, la toute dernière Aprilia RSV4 Factory APRC (Aprilia Performance Ride Control) et enfin la BMW S 1000RR… celle qui a déclenché tout ce bazar.
Coté Japonais, les premiers à réagir sont Kawasaki avec un ZX-10R revue de A à Z. Sur le papier, tout y est ou presque avec 200 chevaux en version full, un antipatinage à trois positions, un embrayag anti-dribble, ses trois modes de puissance et un freinage ABS disponible en option. Mais qu'en est-il dans la vie de tous les jours quand ces 200 chevaux ont été réduis de moitié !? Tout ça est-il réellement nécessaire !? C'est ce que nous avons essayé de savoir en 500 kilomètres de route…
Photos : Eddy Clio
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