2. Essai Aprilia SMV 750 Dorsoduro ABS: La plastique - Dorsobello
Une proue intimidante de prédateur et une poupe libidineuse bien léchée, le tout aiguisé et affûté comme une lame de tueur en série, cette Dorsoduro a un style, qui se veut sans concession. A l'oeil, elle annonce la couleur, elle n'est pas là pour faire de la figuration pour être sage et faire plaisir aux enfants. Ce qu'elle nous promet n'est pas ouvert à tout public tandis que ses galettes de 17 ne font que muscler encore un peu plus l'air martial de l'engin.
Le niveau global de finition ne gâche pas cette bonne impression générale. Les protèges poignées de dotation pour coller au genre sont discrets, les rétroviseurs, qui se révéleront efficaces, très bien dessinés, et le souci esthétique a même été porté jusqu'au dessin de la béquille latérale. Le tableau de bord digital aux fonctions infinies dégage quant à lui un sentiment high tech valorisant pour le propriétaire.
Du coup, on devient exigeant et on regrette ces autocollants latéraux comme sortis d'un catalogue tuning de seconde zone et qui ne rassurent pas sur leur longévité. Mais à part ça, c'est de la bel ouvrage que l'on veut montrer au monde entier. C'est donc le moment d'y aller !
Photos (22)
Sommaire
Déposer un commentaire
Alerte de modération
Alerte de modération