Malgré sa ressemblance avec le précédent qui datait de 1997, le nouveau CLK affiche néanmoins un gabarit en hausse (4,64 m en longueur contre 4,56 auparavant). Une façon comme une autre de le différencier un peu plus de la C Coupé conçue sur une base proche. Les porte-à-faux importants, sans nuire à l’élégance du modèle, gomment tout aspect sportif (contrairement à un coupé BMW Série 3). L’étude aérodynamique poussée a permis de gagner quelques points en Cx (0,28), soit le meilleur résultat de la catégorie.
Développé sur la plate-forme de l’actuelle berline Classe C, le coupé CLK en conserve toutes les qualités. À commencer par le comportement, irréprochable (on apprécie le contrôle de stabilité (ESP) qui n’intervient pas prématurément), les freins efficaces, avec ABS + EBV et aide au freinage d’urgence BAS, ou la sécurité passive de haut niveau. Certains points sont même mieux traités comme le confort, avec des bruits de roulement mieux filtrés, ou l’équipement de série plus complet, comprenant les quatre vitres électriques, la climatisation automatique simple (quatre zones à capteur d’ensoleillement en option), l’ordinateur de bord, le volant multifonction, les jantes alliage, l’ESP, six airbags...
Quelques options, comme les phares au xénon, sont toujours hors de prix. Élégance et Avantgarde disposent de la même dotation, à l’exception d’inserts décoratifs différents. L’habitacle respire la qualité, bien plus que sur l’ancien CLK (au moins à ses débuts en 1997-1998). La position de conduite est devenue parfaite pour tous (même pour les adeptes de l’ultra basse façon BMW), avec en prime un volant au diamètre réduit. L’ambiance intérieure, un brin plus sportive que dans la Classe C mérite également des éloges.
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