E-Solex : quand l'auto rencontre un deux-roues

Oui bon d'accord pour le coup, ça a un peu craqué chez Caradisiac. Mais bon ce n'est pas de ma faute, on me passe un deux-roues. Et bien il faut essayer, quelque soit l'engin. Petit ou gros, un deux-roues reste un deux-roues. Et même si pour l'occasion j'ai embarqué tous mes homologues de Caradisiac Auto pendant cette journée, il a bien fallu qu'ils relèvent le défi ! (et bien oui, c'est facile de toujours être sur 4 roues pour l'équilibre !)

Il a fallu une bonne dose de courage sur les portions de routes nationales, gérer les aléas des pentes, savoir utiliser le moindre courant d'air pour prendre l'aspi de son prédécesseur, avoir LA position aérodynamique pour gratter les quelques mètres du voisin et si ça ne suffisait pas entrer dans un pédalage digne du tour de France pour attaquer les quelques pentes que nous offrait le paysage de Saint Omer.

Ces 56 km de chemins de campagnes sont devenus une véritable aventure (surtout depuis que le GPS existe, les cartes sont devenues un mystère à lire pour certains !) et d'autant plus, le faire en E-Solex avec un passager clandestin dans le groupe, croyez moi, il faut un petit moment !

Le temps de trouver un casque bol à chaque membre de cette équipée sauvage et de recueillir les informations nécessaires pour maîtriser ce foudre de guerre, il est temps pour moi de vous conter ce que le E-Solex a à vous offrir.