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Commentaires - Un équipementier allemand avec une auto de DTM sans pilote

Audric Doche , mis à jour

Un équipementier allemand avec une auto de DTM sans pilote

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Le savoir faire existe pour faire circuler une voiture isolée sur un tracé connu, tout le monde sait faire. Insérer cette voiture au milieu d'une meute de concurrents est quasi impossible. Pour la route, les problèmes ne sont pas résolus sauf celui de la responsabilité qui ne demande que quelques gouttes d'encre: c'est le constructeur qui devient responsable selon une loi française très récente.

Par

Peut-on vraiment comparer une voiture autonome à une autre "gérée" à distance ?

Par

Je ne saisis pas trop l'intérêt de cette voiture "télécommandée"

Est-ce pour les nostalgiques du "monde d'avant" ? Afin qu'ils puissent se défouler virtuellement dans les bouchons (sans quitter le canapé) avant de rejoindre leur travail (toujours sans quitter le canapé :lol: )

Par

C'est une sacrée pub, mais si cela fonctionne une prouesse incroyable :bien:

Par

En réponse à GY201

Le savoir faire existe pour faire circuler une voiture isolée sur un tracé connu, tout le monde sait faire. Insérer cette voiture au milieu d'une meute de concurrents est quasi impossible. Pour la route, les problèmes ne sont pas résolus sauf celui de la responsabilité qui ne demande que quelques gouttes d'encre: c'est le constructeur qui devient responsable selon une loi française très récente.

   

Pas tant que ca, conduire aux limites de l’auto, sur piste ou pas c’est adapter sa conduite, ses freinages, trajectoires et autres en fonction du ressenti.

Le grip n’est pas le meme a un endroit donné et 10 metres plus loin, un freinage en plus de tenir compte du denivelé ne sera jamais le meme sur une courbe similaire a 2 endroits de la piste. Ca implique des corrections en temps réel en fonction du ressenti et c’est justement ce qui est difficile a appliquer a une machine.

 

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Par

En réponse à Mac La Ren

Peut-on vraiment comparer une voiture autonome à une autre "gérée" à distance ?

   

L’article n’est pas clair, mais l’auto est pilotée à distance, ou bien une IA la contrôle à distance?

Par

En réponse à Gros-Chibre

Pas tant que ca, conduire aux limites de l’auto, sur piste ou pas c’est adapter sa conduite, ses freinages, trajectoires et autres en fonction du ressenti.

Le grip n’est pas le meme a un endroit donné et 10 metres plus loin, un freinage en plus de tenir compte du denivelé ne sera jamais le meme sur une courbe similaire a 2 endroits de la piste. Ca implique des corrections en temps réel en fonction du ressenti et c’est justement ce qui est difficile a appliquer a une machine.

   

Les corrections pour l'équilibre de la voiture c'est pas le plus dur à gérer pour une IA je pense car in-fine ce n'est que de la PHYSIQUE et le pilote applique une simple algorithme dans ça tête basé sur des données d'entrée (ressenti volant, freinage, etc...) pour ajuster ces actions.

Par contre, je rejoins le premier commentaire, anticipé le comportement des autres concurrents tout en étant compétitif c'est la toute la difficulté pour une IA car il y a des facteurs psychologiques qui rentrent en jeu.

Par

En réponse à Mac La Ren

Peut-on vraiment comparer une voiture autonome à une autre "gérée" à distance ?

   

Pas du tout ! Cette DTM n'est pas autonome, elle est radioguidée tout au plus ! Donc rien que l'on ne savais visiblement faire il y a 20 ans.... ou alors un truc m'échappe !

Par

En réponse à Axel015

Les corrections pour l'équilibre de la voiture c'est pas le plus dur à gérer pour une IA je pense car in-fine ce n'est que de la PHYSIQUE et le pilote applique une simple algorithme dans ça tête basé sur des données d'entrée (ressenti volant, freinage, etc...) pour ajuster ces actions.

Par contre, je rejoins le premier commentaire, anticipé le comportement des autres concurrents tout en étant compétitif c'est la toute la difficulté pour une IA car il y a des facteurs psychologiques qui rentrent en jeu.

   

oui, c'est difficile...

mais pas non plus impossible.

ça n'est in fine qu'une question de temps avant qu'on ne progresse significativement là-dessus.

tout comme sur les androïdes ou les voyages dans l'univers = il n'y a rien d'insurmontable, mais selon les objectifs, une sacrée dose de patience peut être de mise.

mais dans le domaine spatial entre autres, ça ne décourage pas beaucoup de ceux qui travaillent activement sur des projets, qu'ils ne verront bien souvent pas concrétisés de leur vivant.

c'est d'ailleurs en se disant que tout est possible qu'on progresse.

inversement, quand on affirme que c'est impossible, on ne fait rien, et bien souvent, on se renferme dans la religion, qui part généralement sur le principe que tout doit rester figé sans évolution possible.

 

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