Par franck8315
Faudrait que le poteau de feu rouge soit avant le sas vélo
Sécurité routière : quand le partage de la route ressemble à un sport extrême
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Par franck8315
Faudrait que le poteau de feu rouge soit avant le sas vélo
Par Au Fou
Tout ceci repose sur l'application et le respect du code de la route. Ce dernier évolue régulièrement et les automobilistes n'en sont pas avertis
Il n'y a jamais de campagne d'information dans les médias sur ces sujets , ni de stage proposé (encore moins imposés !)
J'ai personnellement acheté récemment un Code de la Route, ça permet de réviser les fondamentaux et de voir les nouvelles règles Ensuite, comme pour beaucoup de choses, il n'y a que peu de contrôles et de sanctions
Encore une fois, nos politiques sont aux abonnés absents quand il faut prendre des responsabilités peut être désagréables aux contrevenants
Ah oui, vous oubliez les motars, sans doute irréprochables ?
Par halffinger
Avec un deuxième feu pour les vélos, plus petit.
On pourrait même imaginer que ce feu passe au vert 2/3 secondes avant le feu pour les autres véhicules pour sécuriser les intersections.
Par halffinger
Étant cycliste de temps en temps, ça me fait halluciner le nombre de cyclistes qui passent au rouge.
J'ai l'impression qu'on est quasiment sur du 90%
J'attends rarement le feu vert en compagnie d'un autre cycliste.
Je me fais même "engueuler" par certains cyclistes quand je gêne pour passer et aller commettre une infraction où ils risquent la mort et/ou une amende plus élevée que la valeur de leur vélo
Par franck8315
En réponse à halffinger
Avec un deuxième feu pour les vélos, plus petit.
On pourrait même imaginer que ce feu passe au vert 2/3 secondes avant le feu pour les autres véhicules pour sécuriser les intersections.
Aux Pays-Bas c'est comme ça, je trouve ça astucieux !
Par nld
étant moniteur auto école je n en revient pas du nombre d incivilités que je subis. sans conter les mécontent qui m expliquent le code de la route .
entre collègues ces discussions sont légions. ce qu il en ressort : une police (spécialisée)de la route. Le policier ou gendarmes lambda est souvent démunis, voir je m en foutiste tant que c est "pas grave". une amende a 4€ pour le pieton ( pas le temps pour si peux d argent ).
il faut frapper fort et sur tous . Le pieton a 90€ d amende il ne le fera qu une fois . Le cycliste au feu 300€. la moto le scooter sur piste où sas cycliste 300. Le conducteur qui ne s arrête pas au passage pieton idem. le camion qui colle 600 ( le patron appréciera). apres ca va réfléchir. tout le monde ( une grosse partie de la population se sent dans son bon droit...
je l ai déjà dit , on marche bien qu à coup de tarte malheureusement...
je ne prend pas d ex de pays autres ( autre éducation autre façon de penser ), difficile voir impossible à mettre en place.
juste se rappeler qu une minute de gagnée c est que 60 secondes, c est une goutte d eau comparé au temps moyen passé par une grande majorité sur leur tel.
Par meca32
En réponse à nld
étant moniteur auto école je n en revient pas du nombre d incivilités que je subis. sans conter les mécontent qui m expliquent le code de la route .
entre collègues ces discussions sont légions. ce qu il en ressort : une police (spécialisée)de la route. Le policier ou gendarmes lambda est souvent démunis, voir je m en foutiste tant que c est "pas grave". une amende a 4€ pour le pieton ( pas le temps pour si peux d argent ).
il faut frapper fort et sur tous . Le pieton a 90€ d amende il ne le fera qu une fois . Le cycliste au feu 300€. la moto le scooter sur piste où sas cycliste 300. Le conducteur qui ne s arrête pas au passage pieton idem. le camion qui colle 600 ( le patron appréciera). apres ca va réfléchir. tout le monde ( une grosse partie de la population se sent dans son bon droit...
je l ai déjà dit , on marche bien qu à coup de tarte malheureusement...
je ne prend pas d ex de pays autres ( autre éducation autre façon de penser ), difficile voir impossible à mettre en place.
juste se rappeler qu une minute de gagnée c est que 60 secondes, c est une goutte d eau comparé au temps moyen passé par une grande majorité sur leur tel.
Euh, si je me trompe pas un véhicule motorisé dans un sas vélo c'est passible de la même amende et du même retrait de points que griller un feu.
Par ZZTOP60
Vaste sujet...que le le partage de la route.
Je ferais remarquer que des cyclistes, il y en a toujours eu depuis que je roule et ça fait un bail!
Je ferais remarquer que des motards, il y en a toujours eu depuis que je roule et ça fait un bail!
Je ferais remarquer que des piétons, il y en a toujours eu depuis que je roule et ça fait un bail!
En campagne, nous avions aussi des mobylettes, engins agricoles lents et hors gabarit, les auto-stoppeurs pas toujours bien positionnés enfin bref, il a toujours fallu faire attention.
En fait en ville la "mobilité douce" privilégiée et ses EDPM sortis des domaines privés et arrivés en surnombre dans des zones où l'espace de circulation pour l'auto a été diminué fait que c'est là que ça coince. Si des gens ne perdaient pas la vie ce serait amusant de voir comment cet espace est maintenant disputé et qui va gagner!
En résumé la règle de base c'est le Code de la Route et pour chacun en plus, le respect de l'autre et ça c'est pas gagné déjà dans la vie courante alors sur la route.
Par ZZTOP60
En réponse à nld
étant moniteur auto école je n en revient pas du nombre d incivilités que je subis. sans conter les mécontent qui m expliquent le code de la route .
entre collègues ces discussions sont légions. ce qu il en ressort : une police (spécialisée)de la route. Le policier ou gendarmes lambda est souvent démunis, voir je m en foutiste tant que c est "pas grave". une amende a 4€ pour le pieton ( pas le temps pour si peux d argent ).
il faut frapper fort et sur tous . Le pieton a 90€ d amende il ne le fera qu une fois . Le cycliste au feu 300€. la moto le scooter sur piste où sas cycliste 300. Le conducteur qui ne s arrête pas au passage pieton idem. le camion qui colle 600 ( le patron appréciera). apres ca va réfléchir. tout le monde ( une grosse partie de la population se sent dans son bon droit...
je l ai déjà dit , on marche bien qu à coup de tarte malheureusement...
je ne prend pas d ex de pays autres ( autre éducation autre façon de penser ), difficile voir impossible à mettre en place.
juste se rappeler qu une minute de gagnée c est que 60 secondes, c est une goutte d eau comparé au temps moyen passé par une grande majorité sur leur tel.
"il faut frapper fort et sur tous . Le pieton a 90€ d amende il ne le fera qu une fois . Le cycliste au feu 300€. la moto le scooter sur piste où sas cycliste 300. Le conducteur qui ne s arrête pas au passage pieton idem. le camion qui colle 600 ( le patron appréciera). apres ca va réfléchir. tout le monde ( une grosse partie de la population se sent dans son bon droit..."
C'est malheureusement ça!
Par max13410
"à Marseille, ce chiffre tombe à un anecdotique 25 %"
En même temps, dans certains arrondissements il n'y a quasiment aucun aménagement de prévu pour les cyclistes. C'est donc un peu logique, surtout quand on connait la patience des marseillais sur la route et leur respect légendaire du code de la route et de la notion de priorité.
La société est devenue comme ça. Chacun pense à sa gu*ule, ça ne m'étonne donc pas de voir que ni les cyclistes, ni les piétons et encore les moins les automobilistes ne se gênent pour prendre des libertés avec les règles. Remarquez qu'on les y incite un peu également, il y a rarement des forces de l'ordre pour faire appliquer les règles dans les parages. Au lieu de déplorer années après années les incivilités, imprudences et monter les gens les uns contre les autres ("c'est pas moi qui suis dangereux, ce sont les automobilistes qui sont inconscients", "non, ce sont les cyclistes le problème", etc.), il serait peut-être bon de commencer par faire les faire appliquer, quitte à taper là où ça fait mal : dans le porte-feuille. On cherche de l'argent ces derniers temps, ça serait l'occasion...
Par franpir21
L'application du Darwinisme dans un espace contraint.
Intéressant.
J'imagine que des sociologues et des psys se sont déja penchés sur cet aspect de l'être humain.
Comme ceux qui ont élaboré l'expérience de Milgram ou de Stanford sur la psychologie sociale.
Avec des conclusions qui ne sont pas pour les naïfs ni pour ceux qui croient à la bonté, au "vivre ensemble" et à l'altruisme.
Par Gastor
Il n'y a rien à partager mais créer un réseau complet de pistes cyclables. Après à chacun de choisir entre 1h pour faire 10 km en voiture ou 30 mn en vélo peinard.
Par Gastor
En réponse à meca32
Euh, si je me trompe pas un véhicule motorisé dans un sas vélo c'est passible de la même amende et du même retrait de points que griller un feu.
Non, j'ai été flashé dans un sas à Bordeaux, jamais rien reçu. Ce n'était pas volontaire, mamie devant allait trop doucement, je me suis arrêté à l'orange, elle ne devait plus être sur les photos.
Par Litch76
"67 % des conducteurs de deux-roues motorisés et 33 % des automobilistes s’arrêtent joyeusement sur les sas vélos, ces zones pourtant réservées aux cyclistes pour qu’ils soient (un peu) moins vulnérables aux feux"
Faudrait déjà que les cyclistes s'arrêtent au feux pour que ça soit utile
Par Litch76
En réponse à Gastor
Il n'y a rien à partager mais créer un réseau complet de pistes cyclables. Après à chacun de choisir entre 1h pour faire 10 km en voiture ou 30 mn en vélo peinard.
On habite pas tous en grande ville, ici une heure de route, pour aller à la "grande" ville la plus proche (48 minutes exactement d'après Google maps) c'est 3 heures 28 de vélo
Par Brutus1
ici on voit de tout, tous les usagers vélo cyclo scooter moto voitures camionnettes, c'est la jungle. Le respect du code de la route, seul 20% le respectent en banlieue Parisienne. Les pires sont les livreurs de colis qui se foutent de tout, bloquent les rues, les sorties de parking, coupent les lignes blanches, roulent à contre sens, pauvres cyclistes s ils ont un accident avec ces tarés.
Vivement le robotaxi, en voiture , en moto , en camion , en vélo, en trottinette et en basket .
tu donnes ta destination oralement pour chaquedéplacement ,et tu n´as plus rien à faire .
Pas d´excès de vitesses donc plus de pv , et comme tout est centralisé il n´y a que peu de feux nécessaires , plus gens qui ne démarrent pas au feu vert , l´auto faisant ce qu´elle a à faire .
Pour les vélos et les motos , une seule roue gyroscopique , même plus besoin de se pencher pour avancer .
La seule différence, sur le vélo on pédale pour recharger la batterie et sa vitesse est limité à 25 km/h , la moto se rechargeant par induction comme tout le reste et pourra rouler aux limites de vitesses à redéfinir à l´identique pour tous les pays du monde .
De 3 à 10 km/h pour zone piétonne à leur heures d´ouverture pour les riverains ou livraison
30 km/h en ville
50 km/h périphérique
90 km/h route
et libre sur autoroute , si l´auto pèse moins d´une tonne avec ses passagers , puisque c'est l´auto qui conduit et le client qui paye les recharges , sachant qu´à 200 il ne peut faire que 100 km alors qu´à 90 il a 500 km d´autonomie.
De plus aux bornes de recharges, celui qui n´aura pas gâché l´énergie sera prioritaire pour recharger, la voiture étant appelée par la borne automatiquement.
par contre, 80 km/h maxi pour les véhicules professionnels VP , VUL , Poids-Lourds, et Bus et cybertruck ou VP de plus de 1000 kg à vide , où plus de 1,40 m de haut, ou ayant un Cx supérieur à 0,20.
Par GY201
https://www.legorafi.fr/2024/10/29/pour-prevenir-les-accidents-les-velos-seront-desormais-munis-dun-habitacle-et-de-4-roues/
Par Dedit
Il faudrait arrêter de faire croire que les français ne pensent qu'à se critiquer les uns les autres sur la route. Pourquoi d'autres pays semblent bien mieux s'en sortir ?
En France, on met un coup de peinture par ci par la, et on estime qu'il y a une piste cyclable, trop souvent sans continuité. S'il y a un incident (ou pire un accident), on met toujours le problème sur le dos des usagers présents.
On voit bien que notre système arrive à une limite, mais personne n'ose dire qu'il faut se remettre en cause.
Probablement parce que les caisses sont vides...
Par Dedit
Petite correction : remettre en cause nos routes
Par Litch76
En réponse à Dédé la ferraille
Vivement le robotaxi, en voiture , en moto , en camion , en vélo, en trottinette et en basket .
tu donnes ta destination oralement pour chaquedéplacement ,et tu n´as plus rien à faire .
Pas d´excès de vitesses donc plus de pv , et comme tout est centralisé il n´y a que peu de feux nécessaires , plus gens qui ne démarrent pas au feu vert , l´auto faisant ce qu´elle a à faire .
Pour les vélos et les motos , une seule roue gyroscopique , même plus besoin de se pencher pour avancer .
La seule différence, sur le vélo on pédale pour recharger la batterie et sa vitesse est limité à 25 km/h , la moto se rechargeant par induction comme tout le reste et pourra rouler aux limites de vitesses à redéfinir à l´identique pour tous les pays du monde .
De 3 à 10 km/h pour zone piétonne à leur heures d´ouverture pour les riverains ou livraison
30 km/h en ville
50 km/h périphérique
90 km/h route
et libre sur autoroute , si l´auto pèse moins d´une tonne avec ses passagers , puisque c'est l´auto qui conduit et le client qui paye les recharges , sachant qu´à 200 il ne peut faire que 100 km alors qu´à 90 il a 500 km d´autonomie.
De plus aux bornes de recharges, celui qui n´aura pas gâché l´énergie sera prioritaire pour recharger, la voiture étant appelée par la borne automatiquement.
par contre, 80 km/h maxi pour les véhicules professionnels VP , VUL , Poids-Lourds, et Bus et cybertruck ou VP de plus de 1000 kg à vide , où plus de 1,40 m de haut, ou ayant un Cx supérieur à 0,20.
On en veut pas de ta dystopie bolchevique
Par meca32
En réponse à Gastor
Non, j'ai été flashé dans un sas à Bordeaux, jamais rien reçu. Ce n'était pas volontaire, mamie devant allait trop doucement, je me suis arrêté à l'orange, elle ne devait plus être sur les photos.
En revanche, si votre véhicule stationne sur le sas vélo ou mord sur l’emplacement alors que le feu est rouge, sachez que ne pas respecter le sas vélo équivaut à griller un feu ! Dans ce cas, vous vous exposez à une amende de 135 euros, accompagnée d’un retrait de 4 points sur le permis de conduire.
https://www.matmut.fr/assurance/nvei/conseils/sas-velo
Par Gastor
En réponse à meca32
En revanche, si votre véhicule stationne sur le sas vélo ou mord sur l’emplacement alors que le feu est rouge, sachez que ne pas respecter le sas vélo équivaut à griller un feu ! Dans ce cas, vous vous exposez à une amende de 135 euros, accompagnée d’un retrait de 4 points sur le permis de conduire.
https://www.matmut.fr/assurance/nvei/conseils/sas-velo
Je me suis peut être mal exprimé mais mon expérience est non.
Par FabulousFab
En réponse à Litch76
On habite pas tous en grande ville, ici une heure de route, pour aller à la "grande" ville la plus proche (48 minutes exactement d'après Google maps) c'est 3 heures 28 de vélo
C'est pareil.
10mn de moto à 60km/h c'est franchement risible. Surtout pour quelqu'un qui se dit sportif.
Par Bloooky
Les cyclistes des villes (ni casque, ni gants, ni gilet, ni lumières) irresponsables ne sont malheureusement pas une espèce en voie de disparition.
Pourtant suicidaire, fourbe et agressive, elle ne manque pas de catalyseurs à sa perte, loin s'en faut.
Sans plaque et donc sans indentification possible sauf interception, ça se permet toutes les incivilités possibles.
En revanche, au moindre souci, c'est l'automobiliste qui est présumé coupable.
Il n'y a aucune amélioration à espérer sans sanctions des cyclistes des villes.
Et ça va pleurnicher quand ça se fait voler son vélo de bobo, alors que ça ne se déplace même pas pour le faire graver gratuitement à la police municipale.
Pour les premier degré, je précise que j'exclus de mes propos les cyclistes sportifs.
Par carver
En réponse à Bloooky
Les cyclistes des villes (ni casque, ni gants, ni gilet, ni lumières) irresponsables ne sont malheureusement pas une espèce en voie de disparition.
Pourtant suicidaire, fourbe et agressive, elle ne manque pas de catalyseurs à sa perte, loin s'en faut.
Sans plaque et donc sans indentification possible sauf interception, ça se permet toutes les incivilités possibles.
En revanche, au moindre souci, c'est l'automobiliste qui est présumé coupable.
Il n'y a aucune amélioration à espérer sans sanctions des cyclistes des villes.
Et ça va pleurnicher quand ça se fait voler son vélo de bobo, alors que ça ne se déplace même pas pour le faire graver gratuitement à la police municipale.
Pour les premier degré, je précise que j'exclus de mes propos les cyclistes sportifs.
merci
perso je n'ai rien à voir avec les cyclistes urbains qui sont des brelons du velo.
posés comme des crapauds, ils ne survivraient pas à une descente du mont ventoux vu leur piètre niveau de pilotage.
l'absence d'éclairage est une faute grave à velo, bien plus que le casque.
mon velo de route est équipé de led puissantes AV/AR de marque Knog, 365j/an.
ca devrait etre OBLIGATOIRE.(et ça l'est dans le code; mais les petits eclairages minables vendus avec le velo sont une blague).
Par gordini12
En réponse à ZZTOP60
Vaste sujet...que le le partage de la route.
Je ferais remarquer que des cyclistes, il y en a toujours eu depuis que je roule et ça fait un bail!
Je ferais remarquer que des motards, il y en a toujours eu depuis que je roule et ça fait un bail!
Je ferais remarquer que des piétons, il y en a toujours eu depuis que je roule et ça fait un bail!
En campagne, nous avions aussi des mobylettes, engins agricoles lents et hors gabarit, les auto-stoppeurs pas toujours bien positionnés enfin bref, il a toujours fallu faire attention.
En fait en ville la "mobilité douce" privilégiée et ses EDPM sortis des domaines privés et arrivés en surnombre dans des zones où l'espace de circulation pour l'auto a été diminué fait que c'est là que ça coince. Si des gens ne perdaient pas la vie ce serait amusant de voir comment cet espace est maintenant disputé et qui va gagner!
En résumé la règle de base c'est le Code de la Route et pour chacun en plus, le respect de l'autre et ça c'est pas gagné déjà dans la vie courante alors sur la route.
Personnellement je trouve l'article bien rédigé et pondéré, tout comme ton commentaire.
Je suis juste étonné du pourcentage d'automobiliste passant à l'orange. Normalement, il devrait être de 100 % , car ceux qui ne sont pas dans le %age ne sont pas conscients de la réalité de la situation. Il y a bien un moment ou sans prévenir le feu passe à l'orange sans prévenir, c'est bien à cela que sert ce feu. Dans certains pays, c'est un clignotement de plus en plus rapide.
L'article est bien écrit mais il manque l'analyse des causes de ces comportements. De plus si l'environnement n'est pas précisé, une même action peut être presque civique ou incivique.
ce n'est pas la même chose de rouler à vélo sur un trottoir large désert avec visibilité et rouler sur un trottoir étroit et très fréquenté.
En fait c'est notre société avec ses "bonnes" intentions qui a créé cette haine réciproque.
Afin que les plus vulnérables soient indemnisés, (c'est cela l'origine) les assurances des automobilistes doivent payer les frais médicaux. Si l'on ajoute la non responsabilité pénale d'enfants de moins de 7 ans, voila quelques ingrédients pour que certains se sentent hors des lois. Pour le reste lles comme écrit dans l'article les aménagements cyclistes imbéciles, dangereux et restreignants pour les automobilistes contribuent à cette détestation réciproque. Il faut faire du chiffre de piste cyclable peu importe la pertinence des solutions.
Notre société a évolué avec l'utilisation de l'automobile, les mobilités, commerces, logistique, etc... et brutalement on supprime ou ampute les moyens qui avaient été concus durant les 100 années précédentes. Pour entrer et sortir de Rouen, une des avenues était passée d'une à 2 voies et alors que le trafic est de plus en plus important, et bien on remet une voie comme en 1950 afin que le bus qui passe est le champ libre aux heures de pointe. Si 'on veut décongestionner les centre villes, il faut externaliser l'activité économique, les emplois à la périphérie des villes.
Par gordini12
Si tu respecte les règles de circulation, normalement la moto met le même temps que la voiture. Mais si tu ne respecte pas effectivement cela gagne du temps. Va dans les pays du nord, les motards ont un tout autre comportement. Va au Canada, les motards attendent à leur place dans la file derrière les voitures, Ils ne courcicuitent pas la file pour s'installer devant les voitures.
Par franpir21
Pourquoi limiter ce phénomène au réseau routier dans les grandes villes ?
La voiture, le vélo ou la moto n'ont RIEN à voir là dedans.
Vous mettez une population d'individus contraints de cohabiter avec des ressources limitées, en l'occurence ici l'espace, ils finiront par s'entretuer.
Le phénomène est accéléré si la situation s'accompagne d'un niveau de stress important, ce qui est le cas des grands centres urbains.
Ça marche aussi très bien avec la nourriture, l'argent, une femme ou tout ce qui peut attirer la convoitise ou être nécessaire à la survie.
A la télévision, cette caractéristique qui nous renvoie à notre condition d'animal prédateur est largement exploitée dans les jeux dits de "télé-réalité", où le concept de compétition et d'élimination plait énormément et fait d'énormes audiences.
Par tram75
Et dans le lot, rien sur l'environnement des automobilistes ?
C'est bien de s'intéresser aux cyclistes et aux piétons... mais pour reprendre un slogan d'un magazine automobile, ça donne quoi "à la place du conducteur " ?
Car, tous ces aménagements, cette signalisation exponentielle, et la densité des usagers tous modes, on met les conducteurs automobiles (et des autre engins motorisés) dans une complexité d'éléments à traiter très élevés. Or, aucune analyse de risque en la matière.
À quand des analyses FOH pour les automobilistes quand on décide d'une mesure ou d'un aménagement ?
Par gordini12
En réponse à tram75
Et dans le lot, rien sur l'environnement des automobilistes ?
C'est bien de s'intéresser aux cyclistes et aux piétons... mais pour reprendre un slogan d'un magazine automobile, ça donne quoi "à la place du conducteur " ?
Car, tous ces aménagements, cette signalisation exponentielle, et la densité des usagers tous modes, on met les conducteurs automobiles (et des autre engins motorisés) dans une complexité d'éléments à traiter très élevés. Or, aucune analyse de risque en la matière.
À quand des analyses FOH pour les automobilistes quand on décide d'une mesure ou d'un aménagement ?
Et cela ne va s'arranger :
En cas de catastrophe naturelle du type inondation, ou de blocus, Paris disposerait de denrées pour nourrir ses habitants pendant cinq à sept jours seulement, faute de capacités de stockage suffisantes, selon une étude de l'Atelier parisien d'urbanisme (Apur) parue mardi.
Une nouvelle étude, la première du genre en France, a été initiée par la mairie de Paris dans le cadre de sa "stratégie de résilience" lancée en 2022 pour anticiper, avec la préfecture, divers scénarios de crise, tels que des catastrophes naturelles ou des blocus.
"La rupture d'approvisionnement a été identifiée comme un risque majeur" que la crise sanitaire du Covid et les menaces de blocage d'agriculteurs en 2023 ont mis en lumière, a expliqué à l'AFP Pénélope Komitès, adjointe à la maire de Paris en charge de la résilience et de la prospective.
Mais les autorités ne disposaient d'aucune donnée fiable sur la résilience alimentaire. "On parlait de trois jours d'autonomie, sans savoir d'où venait ce chiffre", développe-t-elle.
Selon les travaux de l'Apur, révélés par Le Parisien, cette autonomie serait de "cinq à sept jours", ce que l'élue juge finalement "plutôt rassurant".
Remplir les greniers
Le besoin a été estimé à 3 090 tonnes de denrées pour nourrir les 2 146 000 Parisiens et proposer 6,5 millions de repas chaque jour.
Ces chiffres ont été confrontés à une estimation des stocks nécessaires pour répondre à ces besoins. Avec trois principales sources de ravitaillement : les placards individuels (entre 1,5 et 5 jours de réserves), les commerces et la restauration collective (deux jours) et les entrepôts de logistique alimentaire (deux jours également).
"L'intérêt est d'identifier ce qu'on peut stocker localement, pour savoir comment continuer à alimenter la capitale en cas de catastrophe, comme une crue de la Seine, ou un blocus routier ou ferroviaire", analyse le directeur de l'Apur Alexandre Labasse.
La capitale a perdu progressivement ses capacités de stockage, observe cet architecte en citant la suppression de lieux comme les Grand Moulins.
"Pendant le Covid où il n'y avait plus de pâtes ou de papier toilette dans les supermarchés, on s'est rendu compte que tout notre système était fondé sur le flux", note M. Labasse. Par opposition à la "logique du stock, à l'origine des premières villes de la Mésopotamie qui conservaient les récoltes."
La mairie planche sur les scénarios permettant d'atteindre "une autonomie de 100 jours", en identifiant des "greniers" potentiels comme certains parkings désaffectés, dit Pénélope Komitès. La création d'un "Rungis bis" - un deuxième lieu de stockage de marché alimentaire - au nord de Paris, est aussi à l'étude, au cas où une crue de la Seine viendrait couper en deux la métropole.
Par gordini12
Mais pas de panique : La mairie planche sur les scénarios permettant d'atteindre "une autonomie de 100 jours", en identifiant des "greniers" potentiels comme certains parkings désaffectés, dit Pénélope Komitès. La création d'un "Rungis bis" - un deuxième lieu de stockage de marché alimentaire - au nord de Paris, est aussi à l'étude, au cas où une crue de la Seine viendrait couper en deux la métropole.
La mairie planche sur les scénarios permettant d'atteindre "une autonomie de 100 jours", en identifiant des "greniers" potentiels comme certains parkings désaffectés, dit Pénélope Komitès. La création d'un "Rungis bis" - un deuxième lieu de stockage de marché alimentaire - au nord de Paris, est aussi à l'étude, au cas où une crue de la Seine viendrait couper en deux la métropole.
Voila bientot plus de parking, donc les résidents laisseront leur voiture à Evry et iront la récupérer en vélo, plus de problème de cohabitation !
Par franpir21
En réponse à gordini12
Mais pas de panique : La mairie planche sur les scénarios permettant d'atteindre "une autonomie de 100 jours", en identifiant des "greniers" potentiels comme certains parkings désaffectés, dit Pénélope Komitès. La création d'un "Rungis bis" - un deuxième lieu de stockage de marché alimentaire - au nord de Paris, est aussi à l'étude, au cas où une crue de la Seine viendrait couper en deux la métropole.
La mairie planche sur les scénarios permettant d'atteindre "une autonomie de 100 jours", en identifiant des "greniers" potentiels comme certains parkings désaffectés, dit Pénélope Komitès. La création d'un "Rungis bis" - un deuxième lieu de stockage de marché alimentaire - au nord de Paris, est aussi à l'étude, au cas où une crue de la Seine viendrait couper en deux la métropole.
Voila bientot plus de parking, donc les résidents laisseront leur voiture à Evry et iront la récupérer en vélo, plus de problème de cohabitation !
"La mairie planche sur les scénarios permettant d'atteindre "une autonomie de 100 jours"
Si la mairie de paris a décidé de s'occuper de l'approvisionnement en nourriture, les Parisiens peuvent d'ores et déja se préparer à manger du rat.
En plus, ça tombe bien, des rats y en a trop....
Par Litch76
En réponse à gordini12
Et cela ne va s'arranger :
En cas de catastrophe naturelle du type inondation, ou de blocus, Paris disposerait de denrées pour nourrir ses habitants pendant cinq à sept jours seulement, faute de capacités de stockage suffisantes, selon une étude de l'Atelier parisien d'urbanisme (Apur) parue mardi.
Une nouvelle étude, la première du genre en France, a été initiée par la mairie de Paris dans le cadre de sa "stratégie de résilience" lancée en 2022 pour anticiper, avec la préfecture, divers scénarios de crise, tels que des catastrophes naturelles ou des blocus.
"La rupture d'approvisionnement a été identifiée comme un risque majeur" que la crise sanitaire du Covid et les menaces de blocage d'agriculteurs en 2023 ont mis en lumière, a expliqué à l'AFP Pénélope Komitès, adjointe à la maire de Paris en charge de la résilience et de la prospective.
Mais les autorités ne disposaient d'aucune donnée fiable sur la résilience alimentaire. "On parlait de trois jours d'autonomie, sans savoir d'où venait ce chiffre", développe-t-elle.
Selon les travaux de l'Apur, révélés par Le Parisien, cette autonomie serait de "cinq à sept jours", ce que l'élue juge finalement "plutôt rassurant".
Remplir les greniers
Le besoin a été estimé à 3 090 tonnes de denrées pour nourrir les 2 146 000 Parisiens et proposer 6,5 millions de repas chaque jour.
Ces chiffres ont été confrontés à une estimation des stocks nécessaires pour répondre à ces besoins. Avec trois principales sources de ravitaillement : les placards individuels (entre 1,5 et 5 jours de réserves), les commerces et la restauration collective (deux jours) et les entrepôts de logistique alimentaire (deux jours également).
"L'intérêt est d'identifier ce qu'on peut stocker localement, pour savoir comment continuer à alimenter la capitale en cas de catastrophe, comme une crue de la Seine, ou un blocus routier ou ferroviaire", analyse le directeur de l'Apur Alexandre Labasse.
La capitale a perdu progressivement ses capacités de stockage, observe cet architecte en citant la suppression de lieux comme les Grand Moulins.
"Pendant le Covid où il n'y avait plus de pâtes ou de papier toilette dans les supermarchés, on s'est rendu compte que tout notre système était fondé sur le flux", note M. Labasse. Par opposition à la "logique du stock, à l'origine des premières villes de la Mésopotamie qui conservaient les récoltes."
La mairie planche sur les scénarios permettant d'atteindre "une autonomie de 100 jours", en identifiant des "greniers" potentiels comme certains parkings désaffectés, dit Pénélope Komitès. La création d'un "Rungis bis" - un deuxième lieu de stockage de marché alimentaire - au nord de Paris, est aussi à l'étude, au cas où une crue de la Seine viendrait couper en deux la métropole.
Les gens n'ont vraiment que 1,5 jours de nourriture chez eux en moyenne ?
Enfin c'est qu'il est temps d'assieger Paris du coup
Par ape.happy
Oui la route c'est pas un espace sur lequel on peut circuler en sécurité. Une des raisons est la confusion totale de cet espace entre loisir, recherche de vitesse et fonction utilitaire sans compter l'occasion pour certains de valoriser leur égo
Il va falloir plusieurs générations et beaucoup de travail pour que tout le monde se contente de circuler efficacement d'un point A à un point B. C'est normalement déjà un beau challenge.
Chercher d'autres fonctions à la route est à mon avis une grosse erreur
Par JF2
La route c'est la route et pas autre chose l'emprunter impose de respecter un code identique pour tous, force est de constater que ce n'est pas le cas puisque le challenge consiste aujourd'hui à éviter les autres usagers et anticiper ce qu'ils pourraient faire même si c'est contraire aux règles de ce fameux code de la route. Les aides diverses et embarquées devraient jouer leur rôle mais visiblement le trop plein d'informations semble détourner l'attention et le confort moderne de la notion de danger immédiat, la connectivité fait aussi que les usagers emmènent leur quotidien et leurs soucis dans la voiture et au lieu de conduire mettre à profit ce temps considéré comme perdu dans la mobilité pour régler des problèmes domestiques ou de travail. Ou avoir des véhicules autonomes totalement ou se concentrer sur la conduite mais cet entre deux que nous vivons actuellement est forcément accidentogène.
Par carver
En réponse à gordini12
Mais pas de panique : La mairie planche sur les scénarios permettant d'atteindre "une autonomie de 100 jours", en identifiant des "greniers" potentiels comme certains parkings désaffectés, dit Pénélope Komitès. La création d'un "Rungis bis" - un deuxième lieu de stockage de marché alimentaire - au nord de Paris, est aussi à l'étude, au cas où une crue de la Seine viendrait couper en deux la métropole.
La mairie planche sur les scénarios permettant d'atteindre "une autonomie de 100 jours", en identifiant des "greniers" potentiels comme certains parkings désaffectés, dit Pénélope Komitès. La création d'un "Rungis bis" - un deuxième lieu de stockage de marché alimentaire - au nord de Paris, est aussi à l'étude, au cas où une crue de la Seine viendrait couper en deux la métropole.
Voila bientot plus de parking, donc les résidents laisseront leur voiture à Evry et iront la récupérer en vélo, plus de problème de cohabitation !
la ville hors sol qui cherche à faire des stocks de vivres en cas de jacquerie du pays qui en a raz le bol d'entretenir les couteux fonctionnaires de Bercy qui sont la pour racketer le pays au profit de son centre qui vit sur la bète...
Par fedoismyname
En réponse à halffinger
Étant cycliste de temps en temps, ça me fait halluciner le nombre de cyclistes qui passent au rouge.
J'ai l'impression qu'on est quasiment sur du 90%
J'attends rarement le feu vert en compagnie d'un autre cycliste.
Je me fais même "engueuler" par certains cyclistes quand je gêne pour passer et aller commettre une infraction où ils risquent la mort et/ou une amende plus élevée que la valeur de leur vélo
C'est surtout le cycliste... des villes.
A la campagne, on voit moins ce genre d'imbécilité.
Faut dire qu'il y a également moins de vélos, et c'est davantage le week-end ou le fait de retraités.
Perso, je fais du vélo, de temps en temps, et je respecte toujours les feux et priorités, et je ne prends pas les sens interdits.
En revanche, je ne m'arrête pas forcément aux stops, mais cela dépend bien évidemment du contexte. s'il n'y a personne, je vais ralentir, mais c'est tout.
Mais en ville, c'est du très grand n'importe quoi, et je ne m'étonne donc pas des nombreux accidents, voire mortels, dans certains cas.
Mais c'est essentiellement dû à la crétinisation des masses.
Quand on tient à sa vie, on fait en sorte de ne pas jouer au con, même si on a la priorité.
Par Floran_
On est dans une société où il y a de plus en plus de tarés. C'est devenu la jungle urbaine. Quand on voit que certains se tapent dessus juste pour des équipes de foot, ça en dit long sur le niveau de débilité.
Par Floran_
Les vélos savent très bien ce qu'ils font. Ils n'engagent guère que leur propre vie. C'est aux automobilistes d'être attentifs, de lâcher leur smartphone et de rouler moins vite. Les centre villes devraient d'ailleurs être tous limités à 30 km/h. Et si ça ne suffit pas, il faut descendre la vitesse à 10 km/h. Au moins, le vélo deviendra le moyen le plus rapide pour se déplacer !!
Par gordini12
En réponse à Floran_
Les vélos savent très bien ce qu'ils font. Ils n'engagent guère que leur propre vie. C'est aux automobilistes d'être attentifs, de lâcher leur smartphone et de rouler moins vite. Les centre villes devraient d'ailleurs être tous limités à 30 km/h. Et si ça ne suffit pas, il faut descendre la vitesse à 10 km/h. Au moins, le vélo deviendra le moyen le plus rapide pour se déplacer !!
Je roule à vélo quasi TOUS les jours. Ce que les enquêtes disent et ce que j'observe quand je vais dans une grande ville, c'est que les cyclistes trotinettistes, font n'importe quoi, en pensant bénéficier de l'impunité et ils savent qu'en cas d'accident ils ne sont quasi jamais considérés comme responsables vis à vis des assurances.
Par Oléron17
Franchement, en région parisienne où j'habite, je rencontre très rarement de cyclistes qui respectent le code de la route, notamment les feux rouges et les piétons.
C'est comme s'ils se sentaient en situation d'impunité. Idée probablement exacerbée depuis l'autorisation de brûler "certains" feux rouges.
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