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Commentaires - Livre: "Voitures de toujours", les populaires à l'honneur

Pierre-Olivier Marie

Livre: "Voitures de toujours", les populaires à l'honneur

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Par

"Austin Mini, Renault 4CV, Citroën 2 CV, Fiat 500, Dacia Logan, Seat 600, Hindustan Ambassador et autres VW Coccinelle"

Saurez vous reconnaître l'intrus ?? :areuh:

Par

En réponse à Gastor

"Austin Mini, Renault 4CV, Citroën 2 CV, Fiat 500, Dacia Logan, Seat 600, Hindustan Ambassador et autres VW Coccinelle"

Saurez vous reconnaître l'intrus ?? :areuh:

   

L Ambassador qui aussi obsolète soit elle était réservée à la classe supérieure Indienne, les autres n'ayant pas les moyens de s'offrir une voiture à cette époque ? :bah:

Par

Pendant des décennies, pour une grande majorité des peuples, avoir une voiture était une sorte de signe de richesse. Même une voiture modeste.

Et je pense qu' on va retourner à ce principe...

Par

En réponse à Gastor

"Austin Mini, Renault 4CV, Citroën 2 CV, Fiat 500, Dacia Logan, Seat 600, Hindustan Ambassador et autres VW Coccinelle"

Saurez vous reconnaître l'intrus ?? :areuh:

   

Dacia Logan, moi j’aurais mis la Dacia R12 qui circule toujours en Roumanie sous de multiple formes, break, pick JP double cabine 4x4, coupé 1400, diesel à moteur VW, donc depuis 1969 à 2006, soit 37 ans

Par

En réponse à Gastor

"Austin Mini, Renault 4CV, Citroën 2 CV, Fiat 500, Dacia Logan, Seat 600, Hindustan Ambassador et autres VW Coccinelle"

Saurez vous reconnaître l'intrus ?? :areuh:

   

C'est clair :biggrin:

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Par

En réponse à Gastor

"Austin Mini, Renault 4CV, Citroën 2 CV, Fiat 500, Dacia Logan, Seat 600, Hindustan Ambassador et autres VW Coccinelle"

Saurez vous reconnaître l'intrus ?? :areuh:

   

Aucune. Ce sont toutes des voitures économiques et populaires qui ont été regardées de haut en leur temps par les petits snobinards.

Par

En réponse à deville70

Pendant des décennies, pour une grande majorité des peuples, avoir une voiture était une sorte de signe de richesse. Même une voiture modeste.

Et je pense qu' on va retourner à ce principe...

   

Le tiermonde est le choix politiques de nos dirigeants en effet. :bah:

Par

En réponse à Axel015

Le tiermonde est le choix politiques de nos dirigeants en effet. :bah:

   

Il s'agit d'une tension sur les marchés des matières premières et de l'énergie. Cette tension a des chances de perdurer au-delà des troubles actuels, pour des raisons physiques de raréfaction et de hausse des coûts d'exploitation.

Et s'il faut chercher une cause politique à l'inflation récente, c'est du côté du "quoi qu'il en coûte" et des sanctions anti-russes qui ressemblent à se tirer une balle dans chaque pied. Dans ces cas, on peut dire que c'est la calamiteuse gestion de crise qui engendre des crises encore plus importantes.

Par

En réponse à zzeelec

Il s'agit d'une tension sur les marchés des matières premières et de l'énergie. Cette tension a des chances de perdurer au-delà des troubles actuels, pour des raisons physiques de raréfaction et de hausse des coûts d'exploitation.

Et s'il faut chercher une cause politique à l'inflation récente, c'est du côté du "quoi qu'il en coûte" et des sanctions anti-russes qui ressemblent à se tirer une balle dans chaque pied. Dans ces cas, on peut dire que c'est la calamiteuse gestion de crise qui engendre des crises encore plus importantes.

   

La raréfaction des matières premières cette blague.

La hausse du coût de l'énergie n'a rien a voir avec une hausse de rareté de l'uranium... C'est les choix politiques qui ont conduit a la fermeture et au non entretien des centrales sous la pressions des lobbys écolos.

Il faut appelé un chat, un chat. La pseudo rareté en 2022 c'est une fake news d'extrême gauche. :bah:

Par

En réponse à SF90

Dacia Logan, moi j’aurais mis la Dacia R12 qui circule toujours en Roumanie sous de multiple formes, break, pick JP double cabine 4x4, coupé 1400, diesel à moteur VW, donc depuis 1969 à 2006, soit 37 ans

   

Exact, j'aurais mis la Trabant, histoire de rappeler ce à quoi aboutissent les idées communistes :buzz:

Le Logan contrairement aux autres est restée très "brièvement" au catalogue, à ce compte là on peut mettre n'importe quelle asiatique pas chère (i10, Starlett, Jazz...)

Par

En réponse à zzeelec

Il s'agit d'une tension sur les marchés des matières premières et de l'énergie. Cette tension a des chances de perdurer au-delà des troubles actuels, pour des raisons physiques de raréfaction et de hausse des coûts d'exploitation.

Et s'il faut chercher une cause politique à l'inflation récente, c'est du côté du "quoi qu'il en coûte" et des sanctions anti-russes qui ressemblent à se tirer une balle dans chaque pied. Dans ces cas, on peut dire que c'est la calamiteuse gestion de crise qui engendre des crises encore plus importantes.

   

Précisément, ce sont les marchés qui sont en grande partie responsables de ces tensions, l'électricité française par exemple n'avait strictement aucune raison d'augmenter avant qu'elle soit accaparée par les privés nous avions l'électricité la moins chère de l'UE une fois qu'elle a été soumise aux règles débiles du capitalisme elle est devenue aussi chère que les autres.

S'il y a quelque chose dont il faut se débarrasser à tout prix c'est bien du libéralisme et même des partisans acharnés de cette théorie commencent à s'en rendre compte.

https://youtu.be/lrjHhO-3Pyc

Par

En réponse à meca32

Précisément, ce sont les marchés qui sont en grande partie responsables de ces tensions, l'électricité française par exemple n'avait strictement aucune raison d'augmenter avant qu'elle soit accaparée par les privés nous avions l'électricité la moins chère de l'UE une fois qu'elle a été soumise aux règles débiles du capitalisme elle est devenue aussi chère que les autres.

S'il y a quelque chose dont il faut se débarrasser à tout prix c'est bien du libéralisme et même des partisans acharnés de cette théorie commencent à s'en rendre compte.

https://youtu.be/lrjHhO-3Pyc

   

EDF n'a été soumise aux règles débiles du capitalisme, mais aux lubies débiles de la Concurrence selon Bruxelles ; soit l'exact opposé du libéralisme. Commencer par employer les bons mots est impératif à la compréhension de la situation.

Par

En réponse à Axel015

La raréfaction des matières premières cette blague.

La hausse du coût de l'énergie n'a rien a voir avec une hausse de rareté de l'uranium... C'est les choix politiques qui ont conduit a la fermeture et au non entretien des centrales sous la pressions des lobbys écolos.

Il faut appelé un chat, un chat. La pseudo rareté en 2022 c'est une fake news d'extrême gauche. :bah:

   

Cela fait des décennies que les centrales ne sont pas entretenus. Lobbys écolos mon c*l. Va plutôt chercher du côté de la guerre Areva/Edf... C'est là qu'est le réel problème, et dans cet absurde tourbillon de mégalos qu'est parti la maille, une fois de plus.

Par

En réponse à v_tootsie

Cela fait des décennies que les centrales ne sont pas entretenus. Lobbys écolos mon c*l. Va plutôt chercher du côté de la guerre Areva/Edf... C'est là qu'est le réel problème, et dans cet absurde tourbillon de mégalos qu'est parti la maille, une fois de plus.

   

Entretenues

Par

En réponse à Gastor

EDF n'a été soumise aux règles débiles du capitalisme, mais aux lubies débiles de la Concurrence selon Bruxelles ; soit l'exact opposé du libéralisme. Commencer par employer les bons mots est impératif à la compréhension de la situation.

   

Le libéralisme n'est rien d'autre que l'aboutissement du capitalisme.

Par

En réponse à deville70

Pendant des décennies, pour une grande majorité des peuples, avoir une voiture était une sorte de signe de richesse. Même une voiture modeste.

Et je pense qu' on va retourner à ce principe...

   

La TVA sur les voitures a commencé à diminuer en 1986, il y a 36 ans. Auparavant, elle était de 33 % (TVA appliquée sur les produits dits « de luxe »).

Par

En réponse à meca32

Le libéralisme n'est rien d'autre que l'aboutissement du capitalisme.

   

Peut être mais ce que nous vivons en France, voir en Europe n'est pas le libéralisme, à la limite "néo-libéralisme". Fort heureusement on est encore avec le Capitalisme.

Perso les exemples Trabant avec liste d'attente jusqu'en 1990 ou Autolib (quoique répondant à une centaine idée du Capitalisme) ne me donne pas envie de changer !

Par

En réponse à Axel015

La raréfaction des matières premières cette blague.

La hausse du coût de l'énergie n'a rien a voir avec une hausse de rareté de l'uranium... C'est les choix politiques qui ont conduit a la fermeture et au non entretien des centrales sous la pressions des lobbys écolos.

Il faut appelé un chat, un chat. La pseudo rareté en 2022 c'est une fake news d'extrême gauche. :bah:

   

Je parle de deux choses différentes :

1/ l'énergie : liée au conflit russo-ukrainien et au "génial" marché européen de l'énergie.

2/ l'enchérissement du prix des matières premières telles que les métaux.

Par

En réponse à Gastor

EDF n'a été soumise aux règles débiles du capitalisme, mais aux lubies débiles de la Concurrence selon Bruxelles ; soit l'exact opposé du libéralisme. Commencer par employer les bons mots est impératif à la compréhension de la situation.

   

Surtout à l'établissement d'un marché spot commun dont on a, comme par hasard, défini le cours selon le coût au kWh produit le plus onéreux à un instant T.

Je dis "comme par hasard", car bien évidemment, cela empêche les Français d'être compétitifs face aux Allemands sur le plan énergétique, alors que nous avons un avantage important sur eux grâce au nucléaire.

Par

En réponse à v_tootsie

Cela fait des décennies que les centrales ne sont pas entretenus. Lobbys écolos mon c*l. Va plutôt chercher du côté de la guerre Areva/Edf... C'est là qu'est le réel problème, et dans cet absurde tourbillon de mégalos qu'est parti la maille, une fois de plus.

   

Interview intéressante, d'un gars qui a l'air de savoir de quoi il parle :

https://www.youtube.com/watch?v=N3GeDOLvMYE

Par

En réponse à zzeelec

Surtout à l'établissement d'un marché spot commun dont on a, comme par hasard, défini le cours selon le coût au kWh produit le plus onéreux à un instant T.

Je dis "comme par hasard", car bien évidemment, cela empêche les Français d'être compétitifs face aux Allemands sur le plan énergétique, alors que nous avons un avantage important sur eux grâce au nucléaire.

   

Le refus des Allemands de revenir dessus, maintenant qu'ils payent le gaz au prix fort confirme ça. Ce qui m'agace est d'incriminer le "Capitalisme", le "Libéralisme" comme si l'accusation suffisait à elle même. Pour un certain électorat peut-être, dans la réalité absolument pas !

Par

En réponse à zzeelec

Interview intéressante, d'un gars qui a l'air de savoir de quoi il parle :

https://www.youtube.com/watch?v=N3GeDOLvMYE

   

Mouhais, rien que le titre « C’est une erreur d’arrêter autant de centrales » ! Franchement pour avoir des connaissances à RTE/EDF, je peux garantir qu'ils font pas ça de gaîté de cœur, aussi et surtout depuis la guerre et l'explosion du prix du gaz.

Par

En réponse à meca32

Le libéralisme n'est rien d'autre que l'aboutissement du capitalisme.

   

Ce sont deux concepts très différents, et dont les définitions multiples décrivent des usages variés selon les époques, le domaine académique ou encore l'angle idéologique.

Enoncer "Le libéralisme n'est rien d'autre que l'aboutissement du capitalisme." revient à écrire "le gloubiboulga n'est rien d'autre que l'aboutissement du gloubiboulgui".

Par

En réponse à Gastor

Mouhais, rien que le titre « C’est une erreur d’arrêter autant de centrales » ! Franchement pour avoir des connaissances à RTE/EDF, je peux garantir qu'ils font pas ça de gaîté de cœur, aussi et surtout depuis la guerre et l'explosion du prix du gaz.

   

Ben, il ne dit pas le contraire. Regarde l'interview.

Par

En réponse à Gastor

Le refus des Allemands de revenir dessus, maintenant qu'ils payent le gaz au prix fort confirme ça. Ce qui m'agace est d'incriminer le "Capitalisme", le "Libéralisme" comme si l'accusation suffisait à elle même. Pour un certain électorat peut-être, dans la réalité absolument pas !

   

Le libéralisme économique, c'est la libre concurrence établie au moyen de règles garantissant l'absence d'ententes ou de situations de monopole.

Partant de là, on est bien sur un cas de libéralisation du marché de l'énergie. Cependant, on peut considérer que certaines activités stratégiques pour une nation n'ont pas vocation à être libéralisées.

Ce qui a plutôt bien marché pour les telecoms n'est pas forcément intéressant pour l'énergie. C'est bien expliqué dans l'interview.

Par

En réponse à zzeelec

Ce sont deux concepts très différents, et dont les définitions multiples décrivent des usages variés selon les époques, le domaine académique ou encore l'angle idéologique.

Enoncer "Le libéralisme n'est rien d'autre que l'aboutissement du capitalisme." revient à écrire "le gloubiboulga n'est rien d'autre que l'aboutissement du gloubiboulgui".

   

Ici c'est le domaine de la nuance : c'est "communiste" ou bien "libéral".

Par

En réponse à Hcc1

Ici c'est le domaine de la nuance : c'est "communiste" ou bien "libéral".

   

Alors qu'on peut tout à fait être anarcho-communiste/socialiste, soit l'équilibre complexe de la recherche de la plus grande liberté individuelle conjuguée avec le souci du bien commun ! :bien:

Par

En réponse à zzeelec

Alors qu'on peut tout à fait être anarcho-communiste/socialiste, soit l'équilibre complexe de la recherche de la plus grande liberté individuelle conjuguée avec le souci du bien commun ! :bien:

   

Et anarchiste de droite... j'en ai connus.

Par

En réponse à Hcc1

Et anarchiste de droite... j'en ai connus.

   

Libertariens.

Anarcho-socialistes et anarcho-capitalistes, deux familles politiques dignes d'intérêt.

Par

En réponse à zzeelec

Libertariens.

Anarcho-socialistes et anarcho-capitalistes, deux familles politiques dignes d'intérêt.

   

Attention on peut très bien s'intéresser aux cloportes sans en être un soi-même

Par

En réponse à Hcc1

Et anarchiste de droite... j'en ai connus.

   

L'anarchie, c'est l'ordre sans le pouvoir. Donc, pas forcément d'étiquette gauche ou droite.

Par

En réponse à v_tootsie

L'anarchie, c'est l'ordre sans le pouvoir. Donc, pas forcément d'étiquette gauche ou droite.

   

Anarchie... étymologiquement négation de toute hiérarchie, donc de toute règle car pas de "chef" pour les faire respecter... on entre dans les questions, ordre implique-t-il pouvoir ? Sans doute hors sujet ici mais bien intéressant.

Par

En réponse à Hcc1

Anarchie... étymologiquement négation de toute hiérarchie, donc de toute règle car pas de "chef" pour les faire respecter... on entre dans les questions, ordre implique-t-il pouvoir ? Sans doute hors sujet ici mais bien intéressant.

   

Tu considères donc qu'il ne peut y avoir d'ordre sans hiérachie. Ce qui est navrant, mais réaliste et reflète bien la bêtise de notre espèce

Par

En réponse à v_tootsie

Tu considères donc qu'il ne peut y avoir d'ordre sans hiérachie. Ce qui est navrant, mais réaliste et reflète bien la bêtise de notre espèce

   

L'idéal anarchiste relève selon moi le plus haut degré d'exigence intellectuelle collective - c'est l'aristocratie (au sens étymologie de "aristoi" : les meilleurs) de la démocratie, son sommet absolu.

Comment coopérer et prospérer sans aucune forme de pouvoir central, autorité, chef, Etat institué, etc.

Cela requiert une discipline sociale et individuelle exceptionnelle. C'est le mythe du héros citoyen, doté de capacités morales et culturelles lui conférant une autonomie d'action totale tout en étant profitable au collectif.

On peut rêver de cela à petite échelle, sur un terroir, une communauté dotée d'une cohésion puissante et d'un haut niveau d'éducation permettant à chaque individu de comprendre les enjeux et les besoins de la société à laquelle il contribue avec joie parce qu'elle lui permet d'exprimer en toute harmonie le caractère unique de sa personnalité et de ses désirs. Une forme d'auto-réalisation de soi collective. Se fondre dans un flux tout en lui donnant de l'élan grâce à sa singularité propre.

Un collectif humain vibrant à l'unisson, c'est ça l'idéal anarchiste - enfant de l'humanisme et du libéralisme, à n'en pas douter.

Par

En réponse à v_tootsie

Tu considères donc qu'il ne peut y avoir d'ordre sans hiérachie. Ce qui est navrant, mais réaliste et reflète bien la bêtise de notre espèce

   

"Tu considères donc qu'il ne peut y avoir d'ordre sans hiérachie"

Pas d'ordre sans hiérarchie de valeurs, assurément.

Quant à la hiérarchie humaine, s'en passer demande les hautes qualités évoquées ci-dessus.

Par

En réponse à Gastor

Peut être mais ce que nous vivons en France, voir en Europe n'est pas le libéralisme, à la limite "néo-libéralisme". Fort heureusement on est encore avec le Capitalisme.

Perso les exemples Trabant avec liste d'attente jusqu'en 1990 ou Autolib (quoique répondant à une centaine idée du Capitalisme) ne me donne pas envie de changer !

   

Ok que le terme "libéralisme" ne soit forcément le plus adapté, on peut parler de néolibéralisme ou je ne sais quoi d'autre finissant par libéralisme, mais il n'empêche que le système économique dans lequel nous vivons n'est qu'un prolongement du capitalisme dans lequel nous assistons à une concentration de plus en plus important des moyens de production ce qui est la logique du capitalisme et si à tes yeux cela nous épargné jusqu'à maintenant de rouler en trabant je crains fort que ça ne soit plus le cas pour pas mal de gens et que cela devienne la norme pour beaucoup d'autres dans les années à venir.

Par

En réponse à zzeelec

L'idéal anarchiste relève selon moi le plus haut degré d'exigence intellectuelle collective - c'est l'aristocratie (au sens étymologie de "aristoi" : les meilleurs) de la démocratie, son sommet absolu.

Comment coopérer et prospérer sans aucune forme de pouvoir central, autorité, chef, Etat institué, etc.

Cela requiert une discipline sociale et individuelle exceptionnelle. C'est le mythe du héros citoyen, doté de capacités morales et culturelles lui conférant une autonomie d'action totale tout en étant profitable au collectif.

On peut rêver de cela à petite échelle, sur un terroir, une communauté dotée d'une cohésion puissante et d'un haut niveau d'éducation permettant à chaque individu de comprendre les enjeux et les besoins de la société à laquelle il contribue avec joie parce qu'elle lui permet d'exprimer en toute harmonie le caractère unique de sa personnalité et de ses désirs. Une forme d'auto-réalisation de soi collective. Se fondre dans un flux tout en lui donnant de l'élan grâce à sa singularité propre.

Un collectif humain vibrant à l'unisson, c'est ça l'idéal anarchiste - enfant de l'humanisme et du libéralisme, à n'en pas douter.

   

Je suis parfaitement d'accord sur tous les points. :bien:

Par

En réponse à v_tootsie

Je suis parfaitement d'accord sur tous les points. :bien:

   

Rousseau (Jean-Jaqcques pas Sandrine)... "l'Homme est bon c'est la société qui le corrompt"... Très influencé par mes souvenirs de cours de récréation je n'y crois pas un instant.

Par

En réponse à Hcc1

Rousseau (Jean-Jaqcques pas Sandrine)... "l'Homme est bon c'est la société qui le corrompt"... Très influencé par mes souvenirs de cours de récréation je n'y crois pas un instant.

   

Je ne crois ni à la bonté de l'homme, ni, forcément, à celle de la "société". Qu'est-ce que la société, sinon des hommes ?

Bref, il semble que l'espèce humaine ait besoin qu'on lui impose un pouvoir pour ne pas faire n'importe quoi. C'est bien triste.

Par

En réponse à v_tootsie

Je ne crois ni à la bonté de l'homme, ni, forcément, à celle de la "société". Qu'est-ce que la société, sinon des hommes ?

Bref, il semble que l'espèce humaine ait besoin qu'on lui impose un pouvoir pour ne pas faire n'importe quoi. C'est bien triste.

   

Ce n'est pas parce que quelquechose n'est pas parfait que c'est triste...

 

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